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DxImage : un RIS/PACS intégré et innovant

SAMEDI 25 MAI 2013 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

La société Medasys propose aujourd'hui de nombreuses solutions intégrées, capables de répondre à l'essentiel des besoins en SI des structures de santé. Jean-Noël  Hayart, directeur de l'activité imagerie, et Julien Sagnard, ingénieur avant-vente Imagerie, nous présentent DxImage, le RIS/PACS Medasys enrichi par de récentes innovations.

Nouvelle légende

 

 

Imagerie MedasysThema Radiologie : Pouvez-vous nous présenter la société Medasys et les solutions qu'elle propose ?

Jean-Noël Hayart et Julien Sagnard : Medasys est un acteur historique de l'imagerie numérique. Elle a été, il y a une trentaine d'années, une des premières à développer des consoles de visualisation ainsi que du PACS. Depuis le début des années 2000, elle développe, en plus, un dossier patient (DP), DxCare, un gestionnaire de laboratoire, DxLab, et un RIS/PACS, DxImage. Nous intervenons également dans la gestion du bloc opératoire, des urgences, de la pharmacie ou de la facturation T2A, entre autres. Nous couvrons aujourd'hui l'ensemble des besoins des structures hospitalières et des cliniques concernant les systèmes d'information.

 

TR : Vous développez donc, avec DxImage, une solution intégrée RIS/PACS depuis quelques années ?

  1.  : Tout à fait, nous sommes historiquement très implantés sur les gros établissements hospitaliers, tels que le CHRU de Montpellier ou les Hospices Civils de Lyon, mais aussi au sein de structures publiques de taille moindre. DxImage comprend les fonctions RIS, PACS et Viewer DICOM. Nos solutions couvrent l'ensemble du workflow en imagerie, depuis la demande d'examen provenant du DP ou d'un document papier, la gestion des rendez-vous par call center, jusqu'à l'interprétation et la gestion des dictées. Sur cette dernière fonction, nous avons un système de double validation des comptes rendus, qui permet, par exemple, aux tuteurs dans les CHU, de vérifier les diagnostics décrits par les internes.

 

TR : Sur quelles bases les informations arrivent-elles aux modalités ?

  1.  : Techniquement, nous avons un dispositif de worklist dans le RIS, pour l'envoi des informations patients vers les installations radiologiques, mais aussi dans DxCare Circuit du Patient Opéré pour les appareils déportés au bloc opératoire et l'ensemble des modalités dites « hors salle », DxCare Circuit du Patient Opéré étant un module du DP DxCare. En aval de la worklist, le radiologue a la possibilité d'évaluer la demande et de décider de la justification de celle-ci.

 

TR : Un des modules de DxImage est le DP Radiologie. Quelles en sont ses caractéristiques ?

  1.  : Le DP Radiologie est un environnement qui présente tout l'historique des examens concernant un patient, comprenant un listing des rendez-vous précédents, des comptes rendus, et par lequel on accède directement aux images du PACS. Nous travaillons régulièrement sur l'ergonomie de cet outil afin qu'il soit le plus clair possible. Nous donnons la possibilité d'ajouter des examens réalisés dans d'autres centres, via l'intégrateur de CD Integrity de Codonics, que nous commercialisons. L'intérêt ici est de pouvoir réaliser une continuité entre l'identifiant du patient enregistré dans l'hôpital et celui que l'on va intégrer. Cette opération de rapprochement est réalisée par la secrétaire au niveau de l'accueil. On peut également récupérer des images d'un autre centre par connexion à un PACS distant. Enfin, les résultats de biologie sont aussi accessibles et visualisables dans le RIS grâce à l'intégration du DP DxCare.

 

TR : Quels sont les autres avantages de cette intégration ?

  1.  : Le premier atout de notre système intégré concerne les comptes rendus que l'on fait migrer vers le DP, en réponse à la demande d'examen qui avait été générée par celui-ci. Ensuite, on a la capacité de paramétrer leur forme suivant le correspondant ou le service destinataire. Par exemple, pour les urgences, on pourra envoyer directement la version sonore afin de gagner du temps. Le radiologue aura la possibilité aussi d'accompagner le compte rendu d'une ou plusieurs images-clés, de diffuser des comptes rendus non encore validés, et de définir des règles de diffusion.

 

TR : Quelles sont les autres possibilités de DxImage ?

  1.  : Il y a bien sûr le module facturation T2A, sur lequel nous avons progressé récemment pour accompagner la gestion de structures privées ou mixtes, tels les GIE public/privé. Ce module possède toutes les fonctionnalités classiques d'un gestionnaire T2A, avec en plus des outils pour éditer des avoirs ou des relances d'impayés. Nous sommes sur le point, d'autre part, de faire valider notre feuille de soins électronique, que nous pourrons bientôt mettre à disposition de nos clients. Nous avons lancé depuis peu un module innovant d'enseignement recherche.

 

TR : De quoi s'agit-il ?

  1.  : Il s'agit de mettre à disposition des unités d'enseignement des recueils d'images, anonymisées ou pas, caractéristiques d'une pathologie ou d'une technique d'acquisition particulière. Le radiologue va pouvoir marquer les examens en question, en utilisant des indicateurs disponibles dans DxImage. Par exemple, une incidence particulièrement réussie, ou à l'inverse ratée, sera identifiée comme telle et mise à disposition de l'école de manipulateurs. Ce type d'indicateurs pourra aussi, à terme, servir à réaliser des contrôles qualité des services d'imagerie, comme les tutelles le recommandent de plus en plus.

Dans le chapitre innovations, nous sommes capables aujourd'hui de maîtriser une gestion multi-établissements publics régionaux en reliant les petites structures aux CHU, avec une attention toute particulière à l'identito-vigilance. Nous avons également la volonté d'accompagner les groupements de structures privées, cabinets de radiologie et cliniques indifféremment.

 

TR : Le fait de gérer des structures publiques ou privées est-il très différent ?

  1.  : Au niveau du secteur privé, il y a une difficulté dans le sens où il faut quelquefois faire cohabiter plusieurs SIH différents afin de mutualiser les informations patients. Nous faisons profiter les radiologues de notre savoir-faire et de notre expérience en la matière, en assurant une perméabilité des données médicales, mais aussi une imperméabilité comptable, puisque ces structures privées sont souvent concurrentes au sein du même bassin de population. L'intérêt pour eux est aussi d’optimiser les ressources, de remplir avec efficience les agendas de rendez-vous en mutualisant, par exemple, le call center.

 

TR : Comment résolvez-vous les problèmes d'identito-vigilance ?

  1.  : Sur ce point encore, nous nous servons de notre expérience hospitalière multi-établissements en proposant un corrélateur d'identité. Nous avons, au sein de Medasys, une cellule spécialisée IHE qui élabore des règles de rapprochement des identités patients, grâce à laquelle nous pouvons calculer des scores de probabilité de doublons. En pratique, on utilise des critères forts, comme l'Indice National de Santé (INS), ou plus mouvants, tels que nom, prénom, adresse, etc. Ce corrélateur va pouvoir nous permettre, à terme, de réaliser une analyse de la qualité des fusions déjà pratiquées et, devant un pourcentage faible, procéder à une annulation de ces fusions.

 

TR : Quels sont vos projets d'extension concernant Medasys, et DxImage en particulier ?

  1.  : Medasys est très implanté en Suisse et en Belgique, ce qui implique la possibilitéd'un multicodage pour la facturation (autre que la CCAM) prenant en compte les spécificités de ces 2 pays. La dernière version de nos solutions est d'ailleurs multilingue, permettant à l'utilisateur de fournir des documents compréhensibles à n'importe quel patient, qu'il soit flamand, germanophone ou italophone. Nous travaillons, d'autre part, sur une implantation en Afrique du Nord, avec la prise en compte des codes de facturation spécifiques de cette région.

Un autre projet concerne l'imagerie interventionnelle. Il existe une forte demande des médecins dans ce secteur, si bien que l'on travaille sur un rapprochement du RIS avec DxBloc, pour gérer au plus près les spécificités de cette discipline, et, par extension, sur un outil de gestion des explorations fonctionnelles, dont les workflows sont à peu près semblables à l'imagerie.

Paco Carmine


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