Vous êtes dans : Accueil > Actualités > Radioprotection > Bilan mitigé pour la radioprotection en secteur médical, selon l'ASN

Bilan mitigé pour la radioprotection en secteur médical, selon l'ASN

LUNDI 28 AVRIL 2014 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

A l'occasion de son bilan sur l'état de la radioprotection en France, l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) a fait le point sur l'utilisation des pratiques ionisantes dans le domaine médical. Si des améliorations sont constatées dans nombreux secteurs, des retards sont encore à déplorer dans le management de la qualité ou dans l'application de la réglementation, si bien que la radioprotection est de plus en plus présente dans le manuel de certification HAS.

ASN

Depuis 2008, l’ASN élabore périodiquement, dans son rapport annuel, des synthèses nationales regroupant les principaux enseignements issus des inspections, sur la base d’indicateurs traduisant la conformité aux exigences réglementaires de radioprotection. Selon les données collectées en 2012 par l’IRSN, 201 402 personnes, travaillant dans les domaines d’utilisations médicales des rayonnements ionisants ont fait l’objet d’une surveillance dosimétrique de leur exposition.
L’enregistrement des dysfonctionnements et leur analyse ainsi que la déclaration des événements significatifs de radioprotection (ESR) à l’ASN, d'où proviennent l'essentiel de ces données, révèlent une réelle appropriation de la culture de sûreté et de radioprotection, dans un processus d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins. Ainsi, le nombre ESR déclarés à l’ASN dans le domaine médical en 2013 est en progression de près de 5 % par rapport à 2012 pour atteindre, fin 2013, en moyenne deux déclarations par jour ouvré.

Le management de la qualité et de la sécurité reste insuffisant en radiothérapie

En termes de management de la qualité en radiothérapie, l’ASN constate, depuis 2008, une amélioration continue de la mise en oeuvre des exigences de management de la qualité et de la sécurité dans les services de radiothérapie. En matière de gestion de risque, des améliorations sont nécessaires pour identifier les actions d’amélioration et leur suivi dans le temps. A noter que les effectifs en physique médicale constituent encore, pour quelques centres, une fragilité nécessitant une adaptation des organisations pour assurer la présence d’un radiophysicien pendant la durée des traitements. L'autorité constate un retard important dans la mise en oeuvre des exigences relatives au management de la sécurité et de la qualité, cumulé à des insuffisances en termes d’organisation et de fonctionnement ainsi qu’une diminution ou un turn-over important des équipes médicales. En outre, elle a également été amenée en 2013 à mettre en demeure un centre de radiothérapie de se conformer, sous six mois, à la décision de l’ASN du 1er juillet 2008 fixant les obligations d’assurance de la qualité en radiothérapie. Ce centre présentait un retard important dans la mise en oeuvre de cette décision technique de l’ASN.

Des recommandations à venir sur la gestion des déchets en médecine nucléaire

En médecine nucléaire, les ESR les plus fréquents concernent des erreurs d’administration de radiopharmaceutiques, des erreurs liées à l’identité des patients et des erreurs concernant la dose à administrer. L’analyse de ces événements révèle un manque de culture de management de la qualité et de gestion de risque dans les services de médecine nucléaire concernés.
L'ASN a engagé ou poursuivi des travaux concernant la réglementation visant à améliorer la radioprotection dans ce domaine d’activités. Un groupe de travail incluant l’ensemble des parties prenantes, depuis des responsables d’établissements de santé jusqu'aux experts techniques, a été mis en place début 2013 afin d’émettre des recommandations sur les conditions de rejets d’effluents contaminés par des radionucléides dans les réseaux d’assainissement collectif. Ces recommandations sont attendues courant 2014.

Former les médecins demandeurs d'examens radiologiques au bon usage

En radiologie conventionnelle, en particulier, si les actes de scanographie représentent 10 % en volume, en revanche, ils contribuent pour 58 % à la dose efficace moyenne de la population. Pour une bonne utilisation du guide de bon usage des examens d'imagerie médicale, une formation des médecins demandeur d’examens radiologiques devra être dispensée, l’expérimentation réalisée en Ile de France en 2013, avec le soutien de l’ASN, ayant montré des résultats très positifs. L’effort entrepris pour améliorer l’accès à l’IRM, pour la réalisation des examens non irradiants recommandés dans le guide du bon usage, doit être poursuivi.L’ASN publiera en 2014 un rapport complet sur l’avancement des actions engagées et formulera, le cas échéant, de nouvelles recommandations.
En 2013, l’ASN a saisi le GPMED pour réfléchir, avec les professionnels concernés, sur les actions à conduire afin d’améliorer la participation des centres d’imagerie au recueil et à l’analyse des données dosimétriques en lien avec les NRD et sur l’évolution des dispositions réglementaires à envisager. Au plan européen, l’ASN participe aux initiatives prises par HERCA en direction des constructeurs de scanners pour améliorer les outils d’optimisation disponibles sur les équipements et des sociétés médicales européennes pour les questions relatives à la justification des examens d’imagerie utilisant les rayonnements ionisants.

Les professionnels des blocs opératoires toujours dans le collimateur...

Le contrôle de la radioprotection en radiologie interventionnelle est depuis 2009 une priorité nationale de l’ASN, qui publiera en 2014 un bilan national des inspections réalisées sur la période 2010 à 2012 couvrant plus de 400 services réalisant des actes de radiologie interventionnelle. Du côté des professionnels, les constats établis à l’issue des inspections de 2012 confirment les observations faites au cours des dernières années. Ainsi, la radioprotection des professionnels est mieux prise en compte dans les installations fixes et dédiées de radiologie que dans les blocs opératoires où sont utilisés des appareils mobiles. Globalement, les inspections révèlent des insuffisances dans la réalisation des évaluations de risque, des études de poste et la délimitation des zones réglementées. Le manque de formation des professionnels intervenant dans les blocs opératoires est réel et le constat peut être fait d’une faible culture de radioprotection dans ce secteur. L’ASN constate toutefois des améliorations dans les services ayant été inspectés et une prise de conscience des professionnels liée au retour d’expérience des événements déclarés. Des difficultés d’ordre méthodologique et organisationnel persistent toujours pour les PCR, lesquelles n’ont pas toujours les moyens leur permettant de remplir pleinement leurs missions.

...le manuel de certification 2014 les intègre dans ses critères de qualité

Les constats établis à l’issue des inspections de 2012 confirment également, pour la radioprotection des patients, des défaillances constatées dans l’application du principe d’optimisation des doses tant au niveau du réglage des appareils, des protocoles utilisés que des pratiques. Elles résultent d’une insuffisance de formation des opérateurs à la radioprotection des patients et à une utilisation non maîtrisée des appareils de radiologie. Le faible recours aux radiophysiciens dans les services pratiquant la radiologie interventionnelle constitue également un frein à la mise oeuvre du principe d’optimisation.
L’ASN estime que les mesures urgentes qu’elle préconise depuis plusieurs années, ne sont toujours pas prises pour améliorer la radioprotection des patients et des professionnels pour l’exercice des pratiques interventionnelles. Ces mesures portent sur le renfort des effectifs en radiophysiciens, la formation des utilisateurs, l’assurance qualité, la mise en place d’audit des pratiques professionnelles, l’augmentation des moyens alloués aux PCR, la formation des professionnels à la radioprotection des patients et la publication de guides de bonnes pratiques
par les sociétés savantes. L’ASN a demandé à la Haute Autorité de santé (HAS) d’établir des recommandations nationales pour le suivi des patients ayant bénéficié d’un acte de radiologie interventionnelle susceptible d’entraîner des effets tissulaires. Ces recommandations, comme nous l'avons annoncé dans un précédent article, ont été intégrées au manuel de certification 2014.

Bruno Benque


Le projet européen SINFONIA enrichit l'arsenal de surveillance dosimétrique
19/03/2025 : Le projet européen SINFONIA publie ses recommandations pour l’amélioration de la sécurité des procédures médicales ionisantes. Il se dote de l’IA pour obtenir une dosimétrie individualisée, fournit de nouvelles approches pour caractériser tous les contributeurs aux doses patients et permet des performances optimisées pour les simulations de Monte Carlo en médecine nucléaire.

Radioprotection des patients : quel niveau de qualité des formations dispensées ?
23/11/2024 : L’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) vient de publier une étude relative à l’évolution de la formation continue des professionnels à la radioprotection patient. Si un effort reste à faire, selon elle, sur les compétences des formateurs des MERM de radiologie conventionnelle et de scanographie, la formation des personnels de radiothérapie est quant à elle jugée globalement satisfaisante.

Les principes éthiques et déontologiques de l'ASNR publiés dans un Avis institutionnel
09/10/2024 : La réforme créant l’ASNR, résultat de la fusion entre l’IRSN et l’ASN, se fait dans le cadre d’une réflexion éthique et déontologique. La Commission ad hoc (CED) vient d’émettre un Avis quant à ses principes et à son fonctionnement au sein de l’ASNR.

CLAUD-IT, le projet européen d'audit en radiologie et médecine nucléaire
02/10/2024 : Le projet CLAUD-IT vise à généraliser l'utilisation de l'audit clinique en radiologie et en médecine nucléaire dans les États membres de l'UE. Il vient d’être lancé et des campagnes d’audits seront lancées dans neuf États membres de l'UE.

Biblio - Radionucléides et Radioprotection
19/06/2024 : La 4ème édition de l’ouvrage « Radionucléides et Radioprotection » vient de paraître. Ce guide pratique utilisable en médecine, biologie ou recherche, comporte 212 fiches à l’attention des professionnels du secteur afin qu’ils quantifient les risques d’exposition et optimisent les moyens de protection.

Évaluation de NRD cliniques en neuroradiologie interventionnelle
11/06/2024 : Les NRD, pierre angulaire de la surveillance de la radioprotection en neuroradiologie interventionnelle, doit affiner ses référentiels afin qu’elle reflète mieux la dosimétrie pour chaque indication clinique. Une étude publiée dans la Revue Radiation Protection Dosimetry, la première du genre, fait état de plusieurs grandeurs dosimétriques et techniques pour les NRD en neuroradiologie interventionnelle.

L'ASN publie son rapport annuel sur l'état de la radioprotection en France
29/05/2024 : Dans son rapport annuel sur l’état de la radioprotection dans le domaine médical, l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) fait un retour satisfaisant en termes d’acculturation. Elle cible toutefois des manques récurrents dans les pratiques interventionnelles et la radiothérapie.

La fusion entre l'ASN et l'IRSN entérinée par le Parlement
16/04/2024 : Le projet de Loi instituant la création d’une nouvelle entité indépendante chargée de la sureté nucléaire et de la radioprotection, l’ASNR. Elle aura les mêmes prérogatives que l’ASN enrichies des activités de recherche de l’IRSN.

Réduction de dose significative en TDM grâce à la reconstruction itérative avancée
10/04/2024 : L’utilisation d’un modèle de reconstruction itérative modélisée avancée en tomodensitométrie thoracique permet une réduction significative de la dose sans perte de la qualité de l’image. C’est ce que rapportent des chercheurs suédois dans un article publié dans la Revue Radiation Protection Dosimetry.

Une étude confirme le risque de cancer par exposition aux faibles doses
02/04/2024 : L’étude internationale épidémiologique Inworks confirme l’existence d’un risque de cancer du à l’exposition à de faibles doses de rayonnement ionisant. Ce travail porte sur l’observation de 300 000 travailleurs.


La RIV au 177Lu-PSMA obtient le remboursement par l'Assurance maladie
30/04/2025 : La Radiothérapie Interne Vectorisée (RIV) vient de passer une étape importante pour la démocratisation du traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPRCm) qui expriment l'antigène membranaire spécifique de la prostate (PSMA) et qui ont déjà été traités par hormonothérapie et chimiothérapie à base de taxane.

Les performances diagnostiques de l'IRM 3T accélérée six fois
29/04/2025 : L'IRM du genou 3-T accélérée six fois en moins de 5 minutes, utilisant l'imagerie parallèle et l'accélération multicoupes simultanée montre des performances diagnostiques améliorées pour l’exploration du genou. C’est ce que montre une étude publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) qui valide les apports de ce protocole en termes de visibilité structurale et d’identification des lésions cartilagineuses ou ligamentaires notamment.

La radiologie libérale en grève contre la proposition de Loi Garot
28/04/2025 : Un travail parlementaire transpartisan a été instauré depuis deux ans pour traiter en urgence le problème des déserts médicaux. Le secteur médical libéral se dresse contre la proposition de Loi Garot sur les autorisations d’installation qui en découle et la FNMR a débuté une grève, avant sa participation à la manifestation nationale du 29 Avril 2025.

LA SFRO organise bientôt l'élection de son nouveau bureau
24/04/2025 : La Société Française de Radiothérapie Oncologique (SFRO) organisera bientôt des élections pour renouveler son Bureau, qui doit comporter dix membres, élus pour 2 ans, ventilés selon trois représentants des CHU et CHG, trois représentants des ESPIC et CLCC, et quatre représentants du secteur libéral.

Thérapies valvulaires adaptées aux variantes anatomiques chez le sujet jeune
23/04/2025 : Dans notre série de procédures interventionnelles en vidéo, voici la session PCR Online diffusée le 16 Avril 2025 qui traitait de l’approche thérapeutique des valves cardiaque selon les différentiations anatomiques chez les jeunes patients.

L'IRM à bas champ étend son domaine clinique
23/04/2025 : Le Laboratoire de recherche en imagerie biomédicale multimodale Biomaps a fait récemment l’acquisition d’une modalité d’IRM bas champ très particulière. Elle pemettra de réaliser de la spirométrie 3D en IRM bas champ et des antennes supraconductrices ultrasensibles permettront d’obtenir des résolutions spatiales équivalentes aux IRM 7T ou 9T.

Évaluer la réponse complète à la chimiothérapie néoadjuvante à l'aide de l'IRM
22/04/2025 : La réponse complète à la chimiothérapie néoadjuvante est difficile à évaluer dans le cancer du sein. Un nouveau modèle utilisant l'IRM qui permettrait de prédire la survie sans récidive e été imaginé dans une étude publiée dans la Revue Radiology, qui combine le score d’hétérogénéité intratumorale et les données cliniques pour prédire la réponse complète eu traitement.

Le lexique radiologique standardisé RadLex fête ses vingt ans
22/04/2025 : RadLex, un lexique radiologique complet développé par la Radiological Society of North America (RSNA) destiné à proposer un langage commun pour communiquer les résultats diagnostiques par les radiologues, célèbre son 20e anniversaire en 2025.

JFR 2025 : les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes !
22/04/2025 : Les prochaines Journées Francophones de Radiologie (JFR) se tiendront du 3 au 6 octobre 2025 au Palais des Congrès de la Porte Maillot, Paris XVIIème. Le Président de l’événement cette année, le Pr Mathieu Lederlin, et son équipe ont choisi pour slogan principal : « La Radiologie, les images d’une vie ».

Quelle technique adopter pour quantifier la graisse dans la stéatose hépatique ?
18/04/2025 : Quelle serait la technique à adopter pour évaluer la quantification graisseuse dans la stétose hépatique à dysfonctionnement métabolique ? Une étude italienne publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) expérimente différents critères de ROI en échographie. La fraction de graisse en densité de protons y est utilisée comme référence pour évaluer les meilleurs accords inter opérateurs.


IRM DU SEIN: REHAUSSEMENT DU PARENCHYME COMME PREDICATEUR DE CANCER
13/05/2015 : Le rehaussement parenchymateux en IRM serait un signe favorable à la survenue probable d'un cancer du sein chez les patientes à haut risque. C'est ce qui ressort d'une étude, parue dans Radiology, qui a épluché cinq ans d'examens de dépistage au sein de plusieurs centres.

Les mises à jour des NRD sont inscrites dans la Loi
05/06/2019 : Les dispositions prises par l'ASN concernant la mise à jour des Niveau de Référence Diagnostique (NRD) viennent d'être validées par Arrêté publié au Journal Officiel. Les évaluations en scanner et en interventionnel comprendront 10 patients consécutifs.

Le CAD-RADS pour prédire les événements cardiovasculaires
22/07/2021 : CAD-RADS a récemment fait l’objet de modifications pour préciser les maladies coronariennes à partir du coroscanner. Une étude publiée dans la revue Radiology cherche à savoir si cette classification est pertinente pour prédire les événements cardiovasculaires.

La radiologie libérale en grève contre la proposition de Loi Garot
28/04/2025 : Un travail parlementaire transpartisan a été instauré depuis deux ans pour traiter en urgence le problème des déserts médicaux. Le secteur médical libéral se dresse contre la proposition de Loi Garot sur les autorisations d’installation qui en découle et la FNMR a débuté une grève, avant sa participation à la manifestation nationale du 29 Avril 2025.

Un modèle d'IA peut prédire le cancer du sein à cinq ans
26/03/2024 : Des chercheurs américains ont développé un nouveau modèle d'intelligence artificielle (IA) interprétable pour prédire le risque de cancer du sein sur 5 ans à partir des mammographies, selon une nouvelle étude publiée aujourd'hui dans la Revue Radiology. Ils opensent que cet algorithme pourrait réduire la fréquence du dépistage du cancer du sein.

Les performances diagnostiques de l'IRM 3T accélérée six fois
29/04/2025 : L'IRM du genou 3-T accélérée six fois en moins de 5 minutes, utilisant l'imagerie parallèle et l'accélération multicoupes simultanée montre des performances diagnostiques améliorées pour l’exploration du genou. C’est ce que montre une étude publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) qui valide les apports de ce protocole en termes de visibilité structurale et d’identification des lésions cartilagineuses ou ligamentaires notamment.

Le lexique radiologique standardisé RadLex fête ses vingt ans
22/04/2025 : RadLex, un lexique radiologique complet développé par la Radiological Society of North America (RSNA) destiné à proposer un langage commun pour communiquer les résultats diagnostiques par les radiologues, célèbre son 20e anniversaire en 2025.

Polypes de vésicule biliaire : Les recommandations de la SRU validées dans une étude
19/02/2024 : Dans une étude publiée dans l'American Journal of Roentgenology (AJR), 10 radiologues abdominaux ont évalué le processus de classification des polypes de vésicule biliaire recommandés par la SRU. Ce travail a validé ces recommandations ciblant le risque de chaque type de lésion ainsi que la prise en charge chirurgicale des patients.

LA TDM pour identifier la nécrose provoquée par l'occlusion irréversible du grêle
14/02/2024 : Pour caractériser la composante irréversible de l’occlusion du grêle, la tomodensitométrie (TDM) est la modalité d’exploration de choix. Dans une étude publiée dans la Revue Radiology, des chercheurs chinois ont pu identifier une occlusion irréversible par l’atténuation du grêle à la TDM.

L'IRM à bas champ étend son domaine clinique
23/04/2025 : Le Laboratoire de recherche en imagerie biomédicale multimodale Biomaps a fait récemment l’acquisition d’une modalité d’IRM bas champ très particulière. Elle pemettra de réaliser de la spirométrie 3D en IRM bas champ et des antennes supraconductrices ultrasensibles permettront d’obtenir des résolutions spatiales équivalentes aux IRM 7T ou 9T.