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Le nouveau bureau du CERF innove dans la continuité

VENDREDI 08 MARS 2024 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

Le Collège des Enseignants en Radiologie de France (CERF) vient d’élire son nouveau bureau pour les trois prochaines années. Nous avons rencontré son nouveau Président, le Pr Christophe Aube, qui trace pour nous les contours des activités de cette institution qui œuvre selon deux axes de travail, l’enseignement pour les étudiants en radiologie et la recherche dédiée à cette spécialité.

CERF

Thema Radiologie : Vous venez d’accéder à la Présidence du Collège des Enseignants en Radiologie de France (CERF). Pouvez-vous retracer le cheminement qui vous a conduit à ce poste ?

Pr Christophe Aube : En tant que professeur de radiologie au CHU d’Angers et responsable du pôle d’imagerie et pharmacie, spécialisé en imagerie digestive, notamment hépatique – je participe aux activités du laboratoire transversal HIFIH, tourné vers les pathologies hépatiques -, j’ai été très longtemps secrétaire et président de la Société d’Imagerie Abdominale et Digestive (SIAD). Je participe donc aux activités du CERF depuis de nombreuses années, et ainsi bien imprégné du mode de fonctionnement de cette institution. Conformément aux statuts du Collège, j’ai assumé sa vice-présidence durant trois ans avant d’être nommé Président pour les trois prochaines années. Et, en tant que tel, j’accèderai également, sans doute, à la présidence du Conseil National des Université (CNU) de notre spécialité dans un an, en 2025.

Ce mode de fonctionnement nous permet d’assurer une continuité dans la conduite des projets initiés par le bureau précédent, ce qui ne nous empêche pas, bien entendu, de mettre de nouvelles actions en place et d’affirmer notre personnalité. Et le fait que l’on ne peut pas postuler deux fois à ce poste crée une dynamique, un renouvellement naturel, même si le mandat de 6 ans est assez long.

T.R. : La première mission du CERF est d’assurer un enseignement de qualité pour les étudiants en radiologie. Comment évolue l’attractivité de la spécialité aujourd’hui, alors que la pénurie de praticiens va croissante ?

Pr C.Aube : L’attractivité de notre spécialité est assez stable, après un coup de frein, il y a quelques années, qui a fait suite aux différentes annonces de nos dirigeants qui prévoyaient dans les médias, par ignorance, la disparition des radiologues à cause de l’introduction de l’IA. Le fait est que les radiologues sont toujours là, qu’on en a besoin de plus en plus et que la pénurie sévit. Nous sommes demandeurs de l’IA, bien entendu, pour assurer les activités sans plus-value, mais le jour n’est pas venu où elle remplacera le radiologue. Nous sommes donc repartis sur les mêmes bases qu’avant en termes de nombre d’étudiants avec, souvent, des premiers choix pour les nouveaux internes.

T.R. : L’année d’internat supplémentaire en Radiologie Interventionnelle Avancée (RIA) a-t-elle suscité de nouvelles appétences chez les étudiants ?

Pr C.Aube : La RIA n’a pas attiré plus d’étudiants vers notre spécialité. Par contre, et même si elle engendre une année d’internat de plus, ce qui n’est pas négligeable, elle a eu l’effet d’une reconnaissance pour cette sur-spécialité qui permet aujourd’hui à la RI de se développer significativement. Le CERF a beaucoup travaillé pour mettre en place les trois phases, socle, d’approfondissement et de consolidation, avec du e-learning, des cours en présentiel, des ateliers, sanctionnés par des examens. La structuration de l’enseignement qui a suivi l’apport des connaissances, puis le contrôle de ces enseignements, a engendré un travail phénoménal des radiologues du CERF.

T.R. : Voilà six ans que le CERF travaille sur ce sujet. Quels sont les points d’amélioration que vous auriez identifiés pour ce cursus spécifique ?

Pr C.Aube : Au bout de six ans d’enseignement, déjà, il est temps d’évaluer ce que l’on propose, d’ajuster les contenus et d’ajouter des choses, notamment développer la simulation procédurale, mais aussi la simulation d’annonce par exemple. Nous devons aussi organiser et harmoniser ces sessions de simulation qui sont aujourd’hui dispensées de manière un peu désordonnée. Il faudra, par exemple, ouvrir de nouvelles écoles d’embolisation et trouver des financements pour cela. Je rappelle que l’université a déserté le troisième cycle des études médicales, en partie par manque de moyens financiers, et que les partenariats industriels sont interdits pour les étudiants.

T.R. : J’imagine que ces activités représentent un travail colossal pour les membres du CERF. Quels sont les moyens humains ont cete institution dispose aujourd’hui ?

Pr C.Aube : Le bureau du collège comprend 15 personnes qui prennent en charge chacune une thématique et qui développent les contenus et les enseignements, aidés, bien entendu, au niveau régional, par les quelques 200 praticiens hospitalo-universitaires. Le CERF organise au niveau national et tous les radiologues universitaires participent.

Et nous ne serons pas de trop pour ce nouveau mandat, car nous avons des projets, notamment de modifier la docimologie. Nous allons en effet moins nous préoccuper des connaissances, qui sont accessibles partout aujourd’hui, pour aller vers les compétences des étudiants afin d’évaluer comment ils utilisent leurs connaissances. Cette philosophie est un peu développée dans les facultés de sciences, chez les ingénieurs, mais pas encore en médecine, du moins en France.

T.R. : Des partenariats pédagogiques sont en cours avec plusieurs pays francophones. Seront-ils reconduits durant les trois prochaines années ?

Pr C.Aube : Concernant l’international, il faut distinguer la formation initiale, qui est la prérogative du CERF, et la formation continue, qui est traitée par la SFR, même si les frontières sont poreuses entre les deux institutions. En formation initiale, nous allons continuer le partenariat avec Madagascar, Haïti, le Liban notamment, dans des conditions adaptées aux moyens du pays qui nous sollicite. C’est un devoir de soutenir les francophones sur ce point.

T.R. : Le second axe majeur de l'activité du CERF concerne la recherche en radiologie. Quels sont les projets du mandat qui commence au CERF ?

Pr C.Aube : En recherche, le précédent mandat a beaucoup développé les partenariats académiques avec les industriels. En tant qu’académique, nous avons besoin de matériaux innovants, en termes de gestion de la donnée, de technologies d’imagerie, d’IA, etc., pour avancer, et les industriels ont besoin d’une évaluation clinique des produits qu’ils développent. Le CERF représente un énorme réseau d’experts pour la recherche et ces partenariats se sont bien développés. Pour les faire vivre, nous allons continuer à favoriser ces rapprochements qui sont une meilleure voie d’entrée, pour les industriels, que les Contract Research Organisations (CRO).

Durant ce mandat, nous souhaitons également développer la recherche en pédagogie, qui a une portée générale en radiologie, pour créer des modes de raisonnement afin qu’ils soient utilisés par tous les radiologues. Nous allons travailler, d’autre part, sur notre propre production de recherche pour l’évaluer afin de voir les sur-spécialités les plus représentées et d’identifier les collaborations pluridisciplinaires pertinentes.

Nous avons aussi la volonté, pour finir, de créer des outils pour la qualité de vie des radiologues qui participent à l’enseignement et à la recherche. Nous avons mis en place des outils de management, des formations courtes pour la gestion de crise, la gestion de l’agenda, la création d’abstract et la construction des cours avec l’IA. Ces initiatives sont en accord avec la certification périodique dont l'un des items concerne la prise en compte de la santé personnelle des praticiens. Nous allons continuer dans ce sens afin d’améliorer les conditions d'exercice des hospitalo-universitaires et autres acteurs de l'enseignement des futurs radiologues.

Propos recueillis par Bruno Benque


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