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Le CNPMEM trace les contours du métier de manipulateur de demain

VENDREDI 19 JANVIER 2024 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

Le 10 janvier 2024, une délégation représentative des Manipulateurs d’électroradiologie médicale, emmenée par la Présidente du Conseil National Professionnel (CNPMEM) Séverine Moynat, était reçue au ministère de la Santé et de la Prévention. Le CNPMEM a publié un communiqué synthétisant la teneur des discussions qui ont eu lieu à cette occasion, autour de la démographie et les effectifs en formation initiale, valorisation et attractivité de la profession et structuration des formations complémentaires et des trajectoires professionnelles. Nous avons pris le parti de le republier dans sa totalité.

Depuis 2017, les compétences des Manipulateurs d’Electroradiologie Médicale sont activement recherchées, en France mais également dans tous les pays industrialisés. Les besoins de santé en imagerie et radiologie thérapeutique ne cessent d’augmenter, les installations d’équipements se multiplient alors que de nombreux collègues partent à la retraite et que les nouvelles générations n’hésitent plus à changer de métier au bout de quelques années d’exercice.

La forte mobilisation des manipulateurs en 2019 témoignait du désarroi de nombreux professionnels face à la situation. En février 2021, le rapport commandé par Olivier Véran à l’IGAS, pour étudier la démographie de notre profession, a recensé 26 recommandations pour dynamiser les flux en formation, accroître la reconnaissance et l’attractivité, fidéliser les manipulateurs. Globalement, les associations représentatives des manipulateurs partageaient le diagnostic et les préconisations proposées.

Aujourd’hui, nous souhaitons alerter car ces recommandations dont la pertinence était saluée, n’ont pour la plupart pas été suivies d’effets. Alors que le contexte reste encore très dégradé., seule a été conduite l’augmentation des effectifs étudiants en formation ceci grâce à la mobilisation remarquable des structures de formation et de l’ouverture de nouveaux centres.

Nous proposons de conserver la logique partagée et d’exposer nos réflexions, interrogations et propositions sur les trois axes explorés par la commission IGAS : démographie et effectif en formation, valorisation et attractivité de la profession et structuration des formations complémentaires et des trajectoires professionnelles.

Démographie et effectifs en formation initiale

Selon le rapport IGAS, nous serions 28 000 Manipulateurs en France dont environ 60% exerçant à l’hôpital public. Selon une estimation conduite par les associations professionnelles, 4000 postes seraient vacants, 15 à 20 % des postes seraient vacants dans les CHU alors que dans le secteur privé, moins touché, ce ne sont que 5 à 10% des postes qui seraient vacants.

Un point majeur : l’augmentation significative et rapide des effectifs en formation :

Depuis 2012, les deux cursus de formation donnant droit d’exercer sur le territoire national (DE en IFMEM et DTS IMRT en Lycée) partagent les mêmes modes de sélection, le même référentiel de formation, la même durée d’études de 3 années après le baccalauréat, les deux parcours sont universitarisés et confèrent le grade de Licence. Les employeurs recrutent indifféremment DE ou DTS.

 En 2023, il y a en France 51 centres de Formation de Manipulateurs (19 DE et 32 DTS). En juillet 2023 il y a eu 1239 nouveaux diplômés, 1560 étudiants étaient entrés en 1ère année en 2020, ainsi sans avoir un réel suivi de cohorte, c’est globalement 79% des étudiants entrants qui obtiennent le diplôme. En juillet 2024, les 1348 étudiants de 3ème année seront potentiellement diplômables, ils étaient 1708 étudiants entrés en 2021 soit encore 79%. Entre 2021 et 2023, les centres de formation ont augmenté leurs effectifs de 1ère année de 24% et on estime que grâce aux ouvertures de nouveaux centres de formation ce sera encore environ 10 points de plus lors de la rentrée de septembre 2024.

Si pour pallier le problème démographique, seule l’augmentation des effectifs de formation a été mise en œuvre, l’effort est cependant considérable, c’est plus de 25% de diplômés supplémentaires qui seront mis sur le marché du travail annuellement par rapport aux années 2010-2020. L’amélioration dans les services n’est pas encore perceptible, il faut quelques années pour combler le déficit,

L’évolution de la réglementation en matière d’apprentissage

Au cours des 5 dernières années, les centres de formation tant DE que DTS se sont ouverts à l’apprentissage. En 2023, c’était 7 DE et 12 DTS, soit 180 apprentis, en 2024 les prévisions sont de 16 DE et 21 DTS. Mais le dispositif n’est pas complétement abouti :

- Les inscriptions doivent pouvoir être faites directement sur Parcoursup pour maximiser les chances de débloquer des places hors des autorisations et financement Région et ainsi renforcer encore les effectifs (procédure non encore cadrée)

- Les établissements de santé publics n’ont pas les mêmes niveaux d’accompagnement, d’aucuns sont encore frileux à accompagner des parcours d’apprentissage

Les poursuites de scolarité

La crainte de « perdre » des jeunes attirés par une poursuite d’études précoce et directe après le diplôme n’est pour l’instant pas fondée, ce sont seulement 3.5 % des jeunes diplômés qui choisissent de poursuivre leurs études le plus souvent en Master, ce taux est relativement stable depuis une dizaine d’années qu’il est suivi. Les réorientations en cours de carrière sont non explorées, il semble que la durée des carrières diminue, que les MEM à l’instar d’autres professionnels de santé recherchent des évolutions d’exercice ou de carrière (relevé dans le rapport IGAS).

Un questionnement : la multiplication des centres de formation

Si l’augmentation des effectifs en formation et donc des professionnels diplômés réjouit l’ensemble de la communauté professionnelle, en revanche, des questionnements apparaissent lorsque l’on recense la douzaine de projets d’ouverture de nouveaux centres pour la rentrée prochaine (pour exemple : 4 ou 5 projets pour la seule Île-de-France qui en compte aujourd’hui 6).

Notre interrogation a deux focales :

  • la qualité de la formation, pour ce qui concerne les places de stages disponibles en particulier en Radiothérapie et Médecine Nucléaire, mais aussi la qualification des formateurs pour accompagner des étudiants au plan de l’ingénierie pédagogique et de la clinique professionnelle. Dans les IFMEM il existe des exigences réglementaires en termes de qualification des formateurs et des statuts stables. Pour les nouveaux DTS IMRT, comment assurer la présence de formateurs permanents professionnels ? Comment faciliter les mobilités entre fonction publique hospitalière et éducation nationale et promouvoir des statuts sécurisés aux formateurs ? Comment exiger des pré requis en termes de formation et d’expérience professionnelle ?
  • la qualité de l’universitarisation, les liens fonctionnels entre les centres de formation et une Université ayant une composante « santé » ne sont pas toujours établis, les conventions sont parfois peu dynamiques.

L’universitarisation a pour objectif phare de garantir l’actualisation des enseignements académiques et la mutualisation d’enseignements pour permettre l’acquisition de compétences réflexives et collaboratives, de contribuer à la formation de professionnels autonomes, réflexifs, adaptés à l’environnement sociétal, scientifique et technologique.

Sur ce point, il y a nécessité de revoir le référentiel de formation, qui, construit « au chausse-pied » dans les années 2010, réclame d’être revisité pour permettre plus d’agilité d’ingénierie, pour s’adapter aux nouvelles relations interprofessionnelles, être plus flexible aux parcours personnalisés, permettre plus d’audace territoriale dans les projets pédagogiques, mieux prendre en compte les attentes des étudiants.

De plus, l’objectif premier de l’universitarisation était de promouvoir des trajectoires LMD, chantier encore très peu ouvert et entravé par la construction des 3 CNU qui ignorent les métiers médicotechniques, l’évolution de ce point est aussi primordiale. Outre le CNU 92 (sciences infirmières), des réflexions sont amorcées avec les CNU 43 Biophysique et 47 cancérologie-radiothérapie.

Valorisation et attractivité de la profession

Depuis de nombreuses années, les manipulateurs qui assurent au quotidien la prise en soin des personnes dans les secteurs d’imagerie, oncoradiothérapie et explorations fonctionnelles, revendiquent, à juste titre, la reconnaissance de la valence soignante de leur métier par la valorisation de celle-ci. Ainsi, il apparait pertinent à tous désormais que les manipulateurs du service public bénéficient, à l’instar de leur collègues infirmiers, de la prime Veil, comme le stipule la recommandation n°13 du rapport IGAS.

Dans ce même but de reconnaissance et d’attractivité et selon l’engagement de la DGOS et DGSIP, il faut que tous les étudiants MEM DE et DTS se voient allouer les indemnités de stages comme indiqué à la recommandations n°4 du rapport IGAS. Cette revendication est depuis de longues années portées par les équipes pédagogiques, les associations professionnelles et les étudiants, notamment devant le HCPP. Aujourd’hui, 1/3 des étudiants DTS ne perçoivent aucune indemnité de stage, certaines sections par crainte de perdre les acquis, n’ont pas « réclamé » l’alignement lors de la dernière revalorisation des indemnités.

Notre profession est peu ou mal connue, la reconnaissance et la valorisation de la profession doit être initiée et accompagnée par l’institution elle-même, qui par les écarts de considération actuels, donne des signes péjoratifs qui rendent complexes le recrutement et la fidélisation des jeunes qui aspirent tous à reconnaissance, équité de traitement et qualité de vie.

Structuration de formations complémentaires et trajectoires professionnelles

Les évolutions de l’écosystème de la radiologie diagnostique et thérapeutique liées, entre autres, aux innovations technologiques, à la gestion et aux traitements des données, dans un environnement professionnel concurrentiel, des ressources médicales qui se raréfient, nécessite pour les MEM l’acquisition de connaissances et compétences complémentaires.

Aujourd’hui, 80 % des parcours de soins nécessitent le recours à l’imagerie. Les besoins de santé notamment liés au vieillissement et aux pathologies chroniques (cardiologie, vasculaires, neurologie, oncologie…) impliquent de modifications de prises en soins en imagerie et oncoradiothérapie, et ils représentent un réel défi pour lequel notre système de santé aura besoin de professions intermédiaires de niveau MASTER 2.

La poursuite de la démarche d’universitarisation des professions de santé est une réelle opportunité pour inclure un niveau supplémentaire en Master, répondant à la fois aux besoins de formations complémentaires et aux défis de santé des Français.

La genèse :

Les coopérations interprofessionnelles dans les secteurs hospitalier et libéral ont fait leurs preuves, particulièrement pour les MEM qui ont réalisé 32% des prises en charge des protocoles de coopération nationaux (Échographie et Picc-line…) sans aucun évènement indésirable grave déclaré. Par ailleurs, les coopérations interprofessionnelles ne cessent de s’élargir sur l’ensemble du territoire au travers des protocoles locaux dans tous les domaines de pratique du manipulateur (oncologie, radiologie interventionnelle, cardiologie interventionnelle, neurophysiologie, …) sans aucun EIG connu à ce jour.

Ce sont environ 600 manipulateurs qui sont titulaires du DU d’échographie d’acquisition et plusieurs centaines titulaires d’un autre DU dont plusieurs très adaptés à l’approfondissement de leur cursus socle (DU Aide opératoire en radiologie interventionnelle, DU Manipulateur en recherche clinique, DU de Pratique clinique de radiothérapie, DU d’Ingénierie appliquée à l’IRM, …)

Comité de Réflexion pour l’Évolution du Métier (CREM)

Une dynamique d’un travail s’est engagée entre le CNP MEM et les CNP et sociétés savantes de médecins radiologues, médecins nucléaires et radiothérapeutes, des réflexions ont été conduites par des binômes ou trinômes manipulateurs-médecins dans chaque modalité et/ou discipline. Les premiers travaux « Manipulateurs aujourd’hui et demain, spécialisations ou pratiques avancées » ont été présentés lors des journées du CERF à Nîmes en 2022 et 2023.

Les réflexions visent à identifier, dans chaque grand champ disciplinaire ou populationnel, les activités nouvelles et les compétences qui doivent être acquises par un professionnel pour répondre à ces situations nouvelles de soins, d’organisation, de collaboration interprofessionnelle. Pour poursuivre dans cette dynamique, nous avons constitué le CREM au printemps 2023

Ce comité a été réuni 3 fois en 2023, avec des échanges intersessions, les réflexions s’organisent progressivement en propositions, lesquelles ne ciblent pas de simples expertises que le professionnel peut gagner par l’expérience, mais l’abondements de connaissances et compétences pour un exercice maitrisé, nouveau et autonome, qui nécessiteront le recours à des parcours de formation.

Ces activités et compétences ne sont donc pas incluses dans l’exercice réglementaire du MEM, parfois ébauchées par proximité et pour répondre à un besoin non couvert par l’équipe professionnelle.

A ce niveau l’objectif du CREM est donc de :

- Mettre en évidence qu’il s’agit de métier nouveau, portant responsabilité et exercice nouveau engageant donc une valorisation

- Poursuivre la structuration avec DGOS et MESR, comme le rapport IGAS le préconisait pour définir le type d’approche populationnelle ou d’expertise, pour des pratiques avancées ou spécialisations.

Ébauche de référentiels

Ainsi, nous avons ébauché la rédaction de Référentiels Activités et Compétences, porte d’entrée vers une structuration de référentiels de formation. L’ensemble de ces activités (transversales ou spécifiques), sont de nature à envisager un autre exercice, conduisent vers plus de responsabilité, d’autonomie

Des activités complémentaires transversales

Elles sont retrouvées dans quasiment toutes les situations, que l’approche soit populationnelle ou disciplinaire - Patients/ Activités transversales ; Recueil des données de justification de l'acte ; Consultation et suivi pré post geste ou traitement ; Prise en charge de la douleur ; Interventions non médicamenteuses ; Traitement médicamenteux (prise en compte, décision) ; Éducation thérapeutique ; Éthique, prévention et promotion de la santé ; Hygiène, Qualité & gestion des risques (RP, dosimétrie, surdosage, magnétovigilance) ; Coordination des soins et organisation de la prise en charge dont parcours, ville/hôpital ; Radio Anatomie (contourage, sizing, médecine personnalisée) ; Traitement des données (post-traitement et reconstruction, planification, navigation) ; Justification des actes, choix des actes radiologiques en urgence ; E-santé, assistance télé expertise, Intelligence artificielle ; Suivi et la cotation des actes ; Contrôle qualité.

Ces activités constituent ainsi un corpus peu sélectif, probant en termes de nécessité, pouvant faire l’objet d’un tronc commun pour les parcours identifiés.

Des activités spécifiques d’un domaine / une mention / un exercice

L’appui méthodologique des services centraux est indispensable, les choix doivent être mis en cohérence avec la volonté de structurer les professions et organisation de soins.

Trois approches populationnelles sont travaillées :

  • Approche diagnostique et interventionnelle des patients porteurs de pathologies cardiovasculaires
  • Approche diagnostique et interventionnelle des patients porteurs de pathologies neurologiques
  • Approche diagnostique et interventionnelle en onco & oncohématologie (les documents ont été travaillés avec et présentés au CNP des radiothérapeutes qui en souhaitent la mise en œuvre)

Une approche populationnelle nous questionne particulièrement : les activités non programmées, urgences en imagerie. Ces activités sur des argumentaires différents, questionnent autant dans les grands centres porteurs de services d’accueil d’urgence et les services de proximité, notamment en ruralité.

Trois approches disciplinaires émergent :

  • Pratiques interventionnelles en imagerie et oncologie
  • Imagerie diagnostique de coupes (IRM, TDM)
  • Pratiques en échographie

Des documents de travail sont ébauchés, même non finalisés, les activités et compétences sont identifiées et déclinées pour chaque mention/spécialité (les documents concernant la radiothérapie sont annexés en exemple).

Ces travaux dessinent :

  • De potentielles mutualisations intra filières, mais aussi interprofessionnelles
  • Des parcours structurables en bloc complémentaires
  • La nécessaire gestion des flux et identification de masse critique

CNPMEM


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