Vous êtes dans : Accueil > Actualités > SIH et téléradiologie > PACS : des perspectives nouvelles…

PACS : des perspectives nouvelles…

SAMEDI 25 MAI 2013 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

La mise en place d’un PACS sur un site de production en imagerie médicale est souvent structurante dans l’établissement. Ses apports majeurs sont connus et si d’autres arguments sont moins mis en valeur, les témoignages du Docteur Catherine Ridereau-Zins, du CHU d’Angers, sur les Ateliers Imagerie Urgence Abdominale de l'Ouest organisés au CHU d’Angers, et du Professeur Olivier Hauger, du CHU de Bordeaux, sur les séminaires d’imagerie biannuels organisés à Nice et à Zermatt (Suisse), en collaboration avec le Professeur Nicolas Theumann, prouvent que le PACS et ses outils avancés ouvrent de nouvelles perspectives, notamment en matière de formation.

Catherine Ridereau Zins

DSIH : En collaboration avec les CHU de Nantes (le Professeur Dupas), de Rennes (le Professeur Gandon), l’Hôpital Saint-Joseph à Paris (le Docteur Zins) et grâce au Professeur Aubé (Chef de Service au CHU d’Angers) qui a concrétisé ce projet avec FUJIFILM Medical Systems France (FMSF), vous avez mis en place un atelier particulièrement original et innovant. En effet, il offre la possibilité de travailler sur des consoles de spécialistes. Pouvez-vous revenir sur le déroulement de cet atelier, les thèmes abordés, le profil des participants et sur la particularité de cet atelier?

Docteur Catherine Ridereau-Zins : Organisé sur 2 jours, en présence de 5 enseignants, de 2 manipulateurs et de 2 ingénieurs d’application FMSF qui encadrent et aident à l’utilisation des consoles, cet atelier interactif – créé en février 2012 – a pour but de faire travailler 16 radiologues sur des dossiers cliniques d’imagerie digestive. Cela répond à un besoin de formation, car la pathologie abdominale en urgence est fréquente, et, parfois, de diagnostic difficile, notamment pour des radiologues dont ce n’est pas la principale spécialité. Un certain nombre de thèmes d’urgence abdominale est abordé : perforations digestives, occlusions intestinales, pathologie biliaire, traumatismes abdominaux…

Après un exposé clinique concis et pratique des différentes pathologies abdominales, les participants travaillent en binôme, à l’aide de ces consoles, sur des cas cliniques concrets venant des établissements organisateurs – cas cliniques préalablement anonymisés et chargés par FMSF sur le serveur. Ils analysent, échangent avec les enseignants, émettent des hypothèses diagnostiques et, grâce aux outils, effectuent des reconstructions, des fenêtrages différents… Ils ont en main les outils habituels que l’on trouve sur un scanner d’urgence, mais de façon virtuelle. Cette technologie est particulièrement adaptée à la radiologie digestive, pour laquelle l’importance de l’étude dynamique de l’examen est capitale.

 

DSIH : Le côté pratique de votre atelier est mis en avant par l’utilisation de nombreuses consoles aux fonctionnalités novatrices dans le domaine abordé. L’utilisation d’un serveur de post-traitements avancés SYNAPSE 3D, interfacé au PACS FUJIFILM mis en place au CHU d’Angers, a rendu possible l’organisation que vous proposez. Pouvez-vous nous décrire ce qu’apporte aux participants l’utilisation des outils mis à leur disposition ?

  1. : Cela permet aux participants d’être mis en situation clinique, c’est-à-dire de voir l’ensemble d’un examen d’imagerie et de pouvoir le lire grâce aux outils fournis sur cette console qui sont les reconstructions dans tous les plans de l’espace avec des modules avancés –  multiplanaires ou volumiques –, de façon à faire une analyse similaire à une situation de fonctionnement en urgence.

DSIH : Comment les participants appréhendent-ils l’utilisation de ces nouveaux outils ?

  1. : La prise en main est rapide et les participants sont ravis ! Ils acquièrent facilement de l’autonomie dans l’utilisation des consoles et les quelque 50 cas cliniques à disposition – la base est régulièrement enrichie de cas nouveaux – reflètent en grande partie les situations rencontrées au quotidien.

 

DSIH : Pouvez-vous revenir sur le thème et le déroulement des séminaires d’imagerie ? À qui s’adressent-ils en particulier ?

Professeur Olivier Hauger : Ces journées de formation médicale radiologique continue sont destinées, en priorité, à des radiologues, mais également aux professionnels de santé amenés à prendre en charge dans leur pratique quotidienne des patients ayant des pathologies des os et des articulations. Le thème du séminaire qui s’est déroulé à Nice les 13, 14 et 15 septembre derniers était la hanche, la cheville et le pied, mais les thématiques – genou, rachis, épaule, poignet… – changent tous les ans ou tous les 2 ans. Le nombre de participants est volontairement limité à 30 car nous souhaitons, le Professeur Theumann et moi-même, pouvoir nous occuper des participants de manière individualisée.

 

DSIH : L’une des particularités de votre programme est de mettre à disposition de chaque participant une console personnelle pour l’étude des cas cliniques. Comment organisez-vous vos séances de formation et avez-vous fait appel à des partenaires pour l’accès à ces technologies récentes ?

  1. : Les séminaires sont répartis sur 2 jours et demi. Ils se déclinent tout d’abord sous forme de cours théoriques qui couvrent l’ensemble des pathologies de l’articulation traitée. Ensuite, les participants étudient, de manière individuelle, des cas cliniques préalablement chargés sur les consoles. Le but est de leur permettre de réfléchir, d’émettre des hypothèses diagnostiques, puis d’en discuter.

FMSF nous a proposé le système SYNAPSE, qui apparaît comme un support idéal pour ce type de manifestation. Cette technologie nous permet en effet de rentrer les cas cliniques dans une base de données et d’offrir aux participants la possibilité de travailler sur l’ensemble d’un dossier patient, comme ils le feraient en cabinet.

 

DSIH : Comment les participants acquièrent-ils une autonomie sur l’utilisation de ces nouveaux outils ?

  1. : Les participants bénéficient d’un cours magistral d’une quinzaine de minutes sur le fonctionnement de SYNAPSE, dispensé par l’un des représentants FMSF. Ils mettent très rapidement en pratique ce qui leur a été dit car nous leur demandons juste après de travailler sur 10 premiers cas cliniques d’autoévaluation, qui seront repris en toute fin de séminaire pour apprécier les progrès accomplis. La prise en main s’avère très rapide car l’outil est très intuitif. Les participants sont très rapidement parfaitement autonomes. Ils ont ensuite le loisir de longuement travailler sur les consoles lors des enseignements dirigés, au cours desquels 24 autres cas cliniques leurs sont soumis. Au total, en plus de cours magistraux, ce sont 34 cas cliniques, couvrant une très large part des pathologies, qui leur sont proposés.

 

DSIH : Quel est votre avis sur l’apport du PACS dans le cadre de telles séances de formations thématiques spécialisées en radiologie ? Quelles sont les évolutions à venir ?

  1. : L’apport du PACS est capital ! C’est de loin l’outil le plus intéressant pour faire travailler les praticiens sur des cas cliniques concrets ! Concernant les évolutions prochaines, nous souhaitons que les participants, après le séminaire, puissent se connecter, à distance et grâce à un login spécifique, sur les cas d’autoévaluation et les cas cliniques étudiés afin de pouvoir y revenir si besoin.

 

Formé au CHU de Lausanne puis à l’Hôpital Cochin à Paris, le Professeur Nicolas Theumann exerce quelques années à l’Université de Californie, à San Diego. Il revient en Suisse comme médecin-chef puis professeur, et ouvre ensuite un centre de radiologie. Influencé par son expérience américaine, pays très axé sur la formation, il met en place des cours puis, en 2007, grâce à l’apport des nouvelles technologies et en coopération avec FMSF, il co-organise des séminaires d’imagerie, dont l’un des bénéfices majeurs est de pouvoir mettre à disposition des participants, à l’aide de consoles individuelles intuitives et interactives, des cas cliniques concrets.

 

 

Le PACS et ses outils avancés ont donc un apport essentiel en matière de formation médicale, notamment en favorisant la circulation des informations et l’accès à des outils puissants, habituellement inaccessibles à l’ensemble des utilisateurs. Certains fournisseurs l’ont bien compris. FMSF, qui a choisi de prendre en main son destin en France en se structurant autour d’un nouveau service de développement local (développement outils PACS et RIS), réfléchit à utiliser l’aspect concentrateur de données du PACS SYNAPSE pour améliorer l’accès à l’information, et donc la formation des acteurs du service de radiologie. De nouvelles fonctionnalités pourraient intégrer très rapidement le domaine fonctionnel du PACS SYNAPSE : moteur de recherche puissant à destination des radiologues, liens contextuels vers des atlas radio-anatomiques interactifs et outils d’aide décisionnelle.

Marie-Valentine Bellanger


Recommandations pour faire vivre l'European Health Data Space
21/03/2025 : Une coalition de 39 représentants éminents de la communauté européenne de la santé vient de publier une déclaration commune saluant la mise en place de l’European Health Data Space (EHDS). Elle émet quelques recommandations afin de faire vivre ce règlement.

La vague 2 du Ségur de la Radiologie est lancé
03/03/2025 : L’Agence du Numérique en Santé (ANS) vient de poser les bases d’un accès simplifié aux données de Santé pour les professionnels du secteur. En lançant la vague 2 du Ségur de la Radiologie, elle incite les éditeurs de logiciels d’imagerie à parfaire leur connexion à la DRIMBox et permettra aux acteurs du secteur d’améliorer l’intégration des documents dans le RIS notamment.

La télé-imagerie française s'internationalise
19/02/2025 : La Clinique belge André Renard vient de s’associer avec IMADIS Groupe. Elle met ainsi notamment en place un service de télé-imagerie en même temps qu’un parcours patient optimisé.

Inscrivez-vous au prochain cours international d'informatique radiologique !
11/02/2025 : Une nouvelle session du National Imaging Informatics Course (NIIC) est annoncée pour mars prochain. Ce cours en ligne dédié à l’informatique radiologique est destiné aux radiologues, internes et doctorants.

Le réseau des CLCC a choisi son prestataire de télé-expertise et de e-RCP
25/11/2024 : Unicancer a choisi Omnidoc comme solution de télé-expertise et de e-RCP sur tout le territoire. Le réseau des CLCC dispose ainsi d’un outil qui facilitera l’accès à des avis médicaux experts et améliorera la prise en charge des patients en oncologie.

Nouveau rapprochement entre un groupe d'imagerie et un éditeur de logiciels
12/11/2024 : Le groupe d’imagerie médicale IMDEV a annoncé, aux JFR 2024, la mise en place d’un partenariat avec Softway Medical. Un PACS et une infrastructure d’hébergement mutualisés seront ainsi bientôt déployés au sein du groupe.

Le numérique en Santé doit progresser sur le plan de la prévention
18/10/2024 : La deuxième édition de l’Observatoire de l’accès au numérique en Santé qui vient d’être publié fait un état des lieux sur les vulnérabilités numériques. Pour améliorer son efficacité, la DNS propose de rassurer et d’accompagner les populations vulnérables.

Medsquare aux JFR 2024 : Lancement d'Experio DRIMbox
27/09/2024 : À l'occasion des Journées Francophones de Radiologie 2024 qui auront lieu du 4 au 7 octobre 2024, Medsquare présentera en avant-première sa solution Experio DRIMbox, sélectionnée par plusieurs éditeurs de PACS et plusieurs GRADeS. Cette première version s’inscrit dans le cadre du projet ambitieux Data Radiologie Imagerie Médicale et Médecine nucléaire (DRIM-M), dont l’objectif est de créer un réseau national unique pour le partage d’images médicales entre professionnels de santé : le réseau DRIM-M. 

Deux acteurs historiques de la téléradiologie française se rapprochent
13/09/2024 : IMADIS annonce se rapprocher de son partenaire historique Deeplink Medical. Le nouveau groupe doublera ainsi sa présence sur tout le territoire.

La checklist sur l'IA en imagerie de la RSNA mise à jour
26/06/2024 : La Radiological Society of North America (RSNA) annonce avoir réalisé une mise à jour importante de sa Checklist for Artificial Intelligence in Medical Imaging (CLAIM). Cette mise à jour a été publiée dans la Revue Radiology : Artificial Intelligence.


Les performances diagnostiques de l'IRM 3T accélérée six fois
29/04/2025 : L'IRM du genou 3-T accélérée six fois en moins de 5 minutes, utilisant l'imagerie parallèle et l'accélération multicoupes simultanée montre des performances diagnostiques améliorées pour l’exploration du genou. C’est ce que montre une étude publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) qui valide les apports de ce protocole en termes de visibilité structurale et d’identification des lésions cartilagineuses ou ligamentaires notamment.

La radiologie libérale en grève contre la proposition de Loi Garot
28/04/2025 : Un travail parlementaire transpartisan a été instauré depuis deux ans pour traiter en urgence le problème des déserts médicaux. Le secteur médical libéral se dresse contre la proposition de Loi Garot sur les autorisations d’installation qui en découle et la FNMR a débuté une grève, avant sa participation à la manifestation nationale du 29 Avril 2025.

LA SFRO organise bientôt l'élection de son nouveau bureau
24/04/2025 : La Société Française de Radiothérapie Oncologique (SFRO) organisera bientôt des élections pour renouveler son Bureau, qui doit comporter dix membres, élus pour 2 ans, ventilés selon trois représentants des CHU et CHG, trois représentants des ESPIC et CLCC, et quatre représentants du secteur libéral.

Thérapies valvulaires adaptées aux variantes anatomiques chez le sujet jeune
23/04/2025 : Dans notre série de procédures interventionnelles en vidéo, voici la session PCR Online diffusée le 16 Avril 2025 qui traitait de l’approche thérapeutique des valves cardiaque selon les différentiations anatomiques chez les jeunes patients.

L'IRM à bas champ étend son domaine clinique
23/04/2025 : Le Laboratoire de recherche en imagerie biomédicale multimodale Biomaps a fait récemment l’acquisition d’une modalité d’IRM bas champ très particulière. Elle pemettra de réaliser de la spirométrie 3D en IRM bas champ et des antennes supraconductrices ultrasensibles permettront d’obtenir des résolutions spatiales équivalentes aux IRM 7T ou 9T.

Évaluer la réponse complète à la chimiothérapie néoadjuvante à l'aide de l'IRM
22/04/2025 : La réponse complète à la chimiothérapie néoadjuvante est difficile à évaluer dans le cancer du sein. Un nouveau modèle utilisant l'IRM qui permettrait de prédire la survie sans récidive e été imaginé dans une étude publiée dans la Revue Radiology, qui combine le score d’hétérogénéité intratumorale et les données cliniques pour prédire la réponse complète eu traitement.

Le lexique radiologique standardisé RadLex fête ses vingt ans
22/04/2025 : RadLex, un lexique radiologique complet développé par la Radiological Society of North America (RSNA) destiné à proposer un langage commun pour communiquer les résultats diagnostiques par les radiologues, célèbre son 20e anniversaire en 2025.

JFR 2025 : les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes !
22/04/2025 : Les prochaines Journées Francophones de Radiologie (JFR) se tiendront du 3 au 6 octobre 2025 au Palais des Congrès de la Porte Maillot, Paris XVIIème. Le Président de l’événement cette année, le Pr Mathieu Lederlin, et son équipe ont choisi pour slogan principal : « La Radiologie, les images d’une vie ».

Quelle technique adopter pour quantifier la graisse dans la stéatose hépatique ?
18/04/2025 : Quelle serait la technique à adopter pour évaluer la quantification graisseuse dans la stétose hépatique à dysfonctionnement métabolique ? Une étude italienne publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) expérimente différents critères de ROI en échographie. La fraction de graisse en densité de protons y est utilisée comme référence pour évaluer les meilleurs accords inter opérateurs.

Détection du cancer post-mastectomie par l'IA : les chercheurs doivent persévérer
16/04/2025 : La surveillance des patientes présentant des antécédents de cancer du sein n’étant pas optimale, il est nécessaire d’évaluer les bénéfices de l’IA pour les patientes atteintes d’un cancer du sein post-mastectomie. Une étude coréenne publiée dans la Revue Radiology compare les performances de l’IA à celles des radiologues chez les patientes traitées par mastectomie unilatérale. Un taux de cancer non détectés significatif induit les chercheurs à continuer leurs travaux.


IRM DU SEIN: REHAUSSEMENT DU PARENCHYME COMME PREDICATEUR DE CANCER
13/05/2015 : Le rehaussement parenchymateux en IRM serait un signe favorable à la survenue probable d'un cancer du sein chez les patientes à haut risque. C'est ce qui ressort d'une étude, parue dans Radiology, qui a épluché cinq ans d'examens de dépistage au sein de plusieurs centres.

Les mises à jour des NRD sont inscrites dans la Loi
05/06/2019 : Les dispositions prises par l'ASN concernant la mise à jour des Niveau de Référence Diagnostique (NRD) viennent d'être validées par Arrêté publié au Journal Officiel. Les évaluations en scanner et en interventionnel comprendront 10 patients consécutifs.

Le CAD-RADS pour prédire les événements cardiovasculaires
22/07/2021 : CAD-RADS a récemment fait l’objet de modifications pour préciser les maladies coronariennes à partir du coroscanner. Une étude publiée dans la revue Radiology cherche à savoir si cette classification est pertinente pour prédire les événements cardiovasculaires.

La radiologie libérale en grève contre la proposition de Loi Garot
28/04/2025 : Un travail parlementaire transpartisan a été instauré depuis deux ans pour traiter en urgence le problème des déserts médicaux. Le secteur médical libéral se dresse contre la proposition de Loi Garot sur les autorisations d’installation qui en découle et la FNMR a débuté une grève, avant sa participation à la manifestation nationale du 29 Avril 2025.

Le lexique radiologique standardisé RadLex fête ses vingt ans
22/04/2025 : RadLex, un lexique radiologique complet développé par la Radiological Society of North America (RSNA) destiné à proposer un langage commun pour communiquer les résultats diagnostiques par les radiologues, célèbre son 20e anniversaire en 2025.

Les performances diagnostiques de l'IRM 3T accélérée six fois
29/04/2025 : L'IRM du genou 3-T accélérée six fois en moins de 5 minutes, utilisant l'imagerie parallèle et l'accélération multicoupes simultanée montre des performances diagnostiques améliorées pour l’exploration du genou. C’est ce que montre une étude publiée dans l’American Journal of Roentgenology (AJR) qui valide les apports de ce protocole en termes de visibilité structurale et d’identification des lésions cartilagineuses ou ligamentaires notamment.

Un modèle d'IA peut prédire le cancer du sein à cinq ans
26/03/2024 : Des chercheurs américains ont développé un nouveau modèle d'intelligence artificielle (IA) interprétable pour prédire le risque de cancer du sein sur 5 ans à partir des mammographies, selon une nouvelle étude publiée aujourd'hui dans la Revue Radiology. Ils opensent que cet algorithme pourrait réduire la fréquence du dépistage du cancer du sein.

La vague 2 du Ségur de la Radiologie est lancé
03/03/2025 : L’Agence du Numérique en Santé (ANS) vient de poser les bases d’un accès simplifié aux données de Santé pour les professionnels du secteur. En lançant la vague 2 du Ségur de la Radiologie, elle incite les éditeurs de logiciels d’imagerie à parfaire leur connexion à la DRIMBox et permettra aux acteurs du secteur d’améliorer l’intégration des documents dans le RIS notamment.

Les sociétés savantes se mobilisent pour une radiologie propre
04/03/2025 : L’European Society of Radiology (ESR), en collaboration avec dix sociétés savantes internationales de la discipline, a publié un document commun et un appel à l'action sur la durabilité en radiologie. L’article souligne le besoin urgent d’intégrer des pratiques respectueuses de l’environnement en radiologie tout en garantissant un accès mondial aux soins.

Polypes de vésicule biliaire : Les recommandations de la SRU validées dans une étude
19/02/2024 : Dans une étude publiée dans l'American Journal of Roentgenology (AJR), 10 radiologues abdominaux ont évalué le processus de classification des polypes de vésicule biliaire recommandés par la SRU. Ce travail a validé ces recommandations ciblant le risque de chaque type de lésion ainsi que la prise en charge chirurgicale des patients.