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GE innove en France pour faire face à la crise

MERCREDI 22 OCTOBRE 2014 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

A l’occasion des Journées Françaises de Radiologie (JFR) 2014, Théma Radiologie a rencontré Christophe Lala, le Directeur Général de General Electric Healthcare France, pour un entretien à bâtons rompus. La conjoncture défavorable, les nouveautés technologiques, ou la prospective en matière de santé publique, tels sont les thèmes majeurs que nous avons abordés au cours de ce long entretien.

Christophe Lala

Théma Radiologie  : Vous êtes Directeur Général de General Electric (GE) France. Combien de personnes cela représente-t-il  ?

Christophe Lala  : Notre entreprise emploie 2600 personnes en France, dont 1000 dédiés à la distribution et aux activités de Services, le reste de l’effectif étant centralisé au sein du site de Buc (78), qui comprend un important département de Recherche et Développement (R&D) de plus de 400 personnes, une importante unité de production de sysèmes interventionnels, de mammographie, et une unité de développement d’applications avancées et de traitement de l’image, notamment les reconstruction 3D.

T.R.  : La période récente a été très difficile pour l’industrie de l’imagerie, sous l’effet de la crise économique. Comment GE a-t-il géré cette conjoncture  ?

C.L.  : Depuis 5 ans, en fait, le marché est stable, notamment pour le scanner, et soutenu pour l’IRM. C’est plutôt le niveau des marges qui a baissé, sous la pression des prix. Nous essayons d’innover et de trouver de nouveaux schémas de distribution, dans un contexte qui voit se développer les centrales d’achat. Je précise qu’en termes d’activité économique dans notre industrie, le marché français est un de ceux qui a le moins souffert en Europe.

«  Le scanner dont tout le monde rêve depuis dix ans  »

T.R.  : Quelles sont les nouveautés que vous présentez aux JFR 2014  ?

C.L.  : La grande nouveauté, c’est…j’allais dire le scanner, mais en fait c’est un imageur qui est conçu sur la base d’un scanner tant il est évolué. C’est une évolution majeure, quasiment une rupture avec les équipements de scannographie existant. Nous avons amélioré, après plusieurs années de développement, la vitesse de rotation du système afin de visualiser parfaitement les organes en mouvement, la couverture du patient, pour imager un organe en entier en une seule rotation, ainsi que la résolution spatiale afin de voir les structures les plus fines possibles. Aujourd’hui, avec le Revolution CT, nous avons développé un produit qui intègre les trois dynamiques poussées à leurs plus forts potentiels, le tout à une dose particulièrement faible. Une des applications va notamment permettre de pousser l’étude de l’arbre vasculaire et la perfusion du muscle cardiaque.

T.R.  : Comment avez-vous fait évoluer votre technologie pour obtenir une machine aussi pointue  ?

C.L.  : Sans rentrer dans les détails, on a aujourd’hui un système de détection à scintillateur qui est passé de 4 à 16 cm et une électronique d’acquisition des données miniaturisée, basée sur un support flexible, qui réduit très fortement le poids des systèmes embarqués sur l’anneau et permet une vitesse de rotation phénoménale avec un tour à 0,28 secondes. Pour donner une idée, les éléments composant le statif sont soumis à une force de 75 G. A côté de ça, on a intégré une transmission des données mais à travers une connexion optique et une informatique utilisant des calculateurs de dernière génération très puissants, pour plus de fluidité et de rapidité. Le cahier des charges était très ambitieux  : une plus grande surface détectée, avec une rotation plus rapide, il nous fallait une informatique à la hauteur. C’est le scanner dont tout le monde rêve depuis dix ans  ! Le générateur de ce nouveau scanner est d’ailleurs produit en France, sur notre site de Buc.

«  Des séquences silencieuses étendues en IRM  »

T.R.  : Qu’y a-t-il de nouveau en IRM  ?

C.L.  : Notre offre d’IRM continue d’évoluer, en matière d’imagerie cardiaque notamment, avec l’amélioration de l’étude fonctionnelle, et bientôt j‘espère l’utilisation de marqueurs pour obtenir une étude fonctionnelle et moléculaire. Notre soucis, en termes de confort du patient, c’est la possibilité de réaliser des séquences silencieuses. On sait que le bruit généré par une IRM est souvent responsable de mouvements du malade en cours d’acquisition qui nécessite de renouveller l’examen.

T.R.  : Comment est-ce possible techniquement  ?

C.L.  :  Nous avons beaucoup travaillé sur la physique, avec une nouvelle méthode d’acquisition des données dans laquelle les gradients sont utilisés en continue mais ne commute pas rapidement, par conséquent les vibrations mécaniques sont éliminées. Tout cela sans compromis sur la qualité des images. Pour le reste du parc d’imagerie, nous proposons par exemple, en échographie, des machines capables de réaliser de l’élastographie par ondes de cisaillement, pour l’évaluation de la nature des tissus en hépatologie, ou, en mammographie, un nouvel équipement numérique d’entrée de gamme.

T.R.  : L’imagerie vasculaire et interventionnelle évolue-t-elle également chez GE  ?

C.L.  : Effectivement, puisqu’avec les Discovery 730 et 740nous avons introduit une salle hybride, qui importe littéralement la salle d’imagerie au sein du bloc opératoire. Il s’agit également d’un changement majeur, philosophique tout d’abord, par la cohabitation du chirurgien et du radiologue, pour le confort du patient ensuite, qui évite nombre d’interventions lourdes, et qui permet de réduire les durées d’hospitalisation.

«  Notre département R&D de BUC est pôle d’excellence mondial pour les rayons X  »

T.R.  : Votre solution de tomosynthèse vient de recevoir l’accréditation de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis. Pourquoi une modalité d’une marque américaine comme la votre est-elle d’abord autorisée en France  ?

C.R.  : Tout simplement parce qu’il s’agit d’une innovation française. La tomosynthèse a en effet été développée dans nos centres de recherche de Buc, de même que la salle hybride ou les arceaux d’imagerie vasculaire. Ces modalités sont produites, pour le monde entier, dans notre centre de production à Buc. Celui-ci est le pôle d’excellence rayons X pour General Electric au niveau mondial. On voit bien là l’apport majeur des 400 ingénieurs R&D, dont je parlais en début d’entretien, qui travaillent en ingénierie chez GE Healthcare en France.

T.R.  : Le RSNA se profile à l’horizon, et j’imagine que d’autres nouveautés vont être dévoilées. Puisque nous parlons des USA, GE France a-t-il une certaine autonomie vis à vis du siège américain  ?

C.R.  : Je pense qu’il ne faut pas voir les choses comme cela en ce qui nous concerne. Les décisions se prennent de façon collégiale chez GE. Sous l’impulsion des pôles d’excellence, disséminés à travers le monde, qui ont chacun leurs spécialités, les tendances technologiques ou commerciales sont discutées afin de définir les stratégies de développement. On prend en compte le potentiel commercial des différents marchés mais aussi les opportunités de développement de nouvelles applications cliniques. Sur ce dernier point, la France joue un rôle central, puisque c’est ici que l’on a installé, par exemple, la première tomosynthèse, la première salle hybride dernièrement, ou la nouvelle génération de PETScan en première mondiale à l’oncopole de Toulouse

«  L’avenir se jouera sur notre capacité à proposer un traitement personnalisé au patient  »

T.R.  : Vous évoquez le PETscan, quoi de neuf chez GE en médecine nucléaire  ?

C.L.  : Nous venons d'introduire 2 innovations dans ce domaine : un nouveau PET CT : Discovery IQ, ayant une sensibilité 2 fois plus grande que les systèmes actuels, permettant une réduction des temps d'examens et des doses injectées de  FDG de  moitiés, la 2ème innovation est l'introduction de Q.Clear : un nouveau mode de reconstruction en TEP CT permettant une meilleure détectabilité des lésions et offrant une plus grande précision de la quantification de ces lésions, ce qui permet une optimisation des suivi des patients ayant des traitements de chimiothérapie, radiothérapie ou chirurgie.

T.R.  : Pour conclure, comment voyez-vous l’avenir de l’imagerie, au sens large du terme  ?

C.L.  : Dans un environnement contraint, l’imagerie diagnostique et thérapeutique est appelée à jouer rôle toujours plus central dans le parcours de soin. Sa capacité à donner un diagnostic de plus en plus précis, avec l’objectif d’administrer un traitement personnalisé au patient, est de nature, de mon point de vue, à encourager les investissements et les innovations dans cette discipline. Tout le monde y sera gagnant, le patient d’abord par une meilleure évaluation de l’efficacité des traitement et des interventions moins invasives, et aussi notre système de santé, par des économies conséquentes sur les durées d’hospitalisation et les coûts de traitements.

Bruno Benque


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