L’IUCPQ à la pointe de la technologie
MARDI 24 MAI 2016
Soyez le premier à réagirLe gouvernement du Québec a inauguré la phase IV du projet d'agrandissement de l’IUCPQ et la nouvelle Chaire de recherche et d'innovation en imagerie cardiovasculaire. Cette phase consistait en l’ajout de deux niveaux additionnels au centre de recherche. Ces étages à la fine pointe de la technologie accueillent un laboratoire d’imagerie cardiovasculaire, respiratoire et métabolique, ainsi que des laboratoires thématiques de biologie cellulaire et moléculaire de l’obésité.
L'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec − Université Laval (IUCPQ) a inauguré la phase IV de son projet d’agrandissement. « Ces nouveaux locaux et ces laboratoires à la fine pointe de la technologie permettront aux chercheurs du centre de recherche de mieux comprendre les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires et respiratoires. L'ensemble du réseau de la santé et des services sociaux profitera également des avancées que cela permettra, notamment grâce à des traitements mieux ciblés et mieux adaptés aux besoins des personnes atteintes par ces problèmes de santé, dont la prévalence est de plus en plus considérable » a déclaré monsieur Barrette, ministre de la Santé et des Services sociaux.
Les travaux de la quatrième phase ont permis la construction de deux niveaux additionnels d'environ 1 239 mètres carrés. Le premier étage comprend un laboratoire d'imagerie cardiovasculaire, respiratoire et métabolique, lequel inclut une unité IRM 3.0 tesla et une unité de tomodensitométrie multi-détecteur assistée par ordinateur. Le second niveau accueille des laboratoires thématiques de biologie cellulaire et moléculaire de l'obésité et des maladies cardiovasculaires et respiratoires.
Les nouveaux appareils serviront notamment à la nouvelle chaire de recherche et d’innovation en imagerie cardiovasculaire, lancée parallèlement lors de l’inauguration de la 4ème phase. Pour le titulaire de la chaire, le docteur Éric Larose, il était plus que tant d’investir dans la recherche cardiovasculaire, qui est une des causes principales de décès au Québec.
Pauline Mayol