Collaboration Live révolutionne la télé-expertise synchrone  
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Théma Radiologie
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Philips lance Collaboration Live,
la 1re suite de logiciels de communication en échographie certifiée pour le télédiagnostic.
 
 
 
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Embarquée dans tous les systèmes d’imagerie par ultrasons, Collaboration Live permet au radiologue ou au manipulateur réalisant un examen d’échographie de partager son écran en temps réel avec un expert à distance pour solliciter un avis ou faire valider un diagnostic, notamment sur les cas complexes. L’expert peut également prendre la main et guider, à distance, une procédure d’échographie réalisée par un manipulateur par exemple.

Combinant la puissance des formats de communication (texte, chat, appel, vidéo) et la simplicité d’une webcam et d’un micro, Collaboration Live vous permet ainsi d’accéder à l’expertise dont vous avez besoin en temps réel, d’optimiser la formation de vos équipes de manière continue et interactive et ainsi d’assurer une qualité des soins constante, quelle que soit la présence sur site.

En pratique, un radiologue senior peut depuis son poste guider ou former plusieurs internes à distance chacun depuis son échographe.

Répondant au marquage CE et validé par la FDA, Collaboration Live ne nécessite aucun hardware, mais seulement une licence annuelle, par échographe ou par utilisateur, au choix.

Parce que les images parlent plus que les mots, profitez des JFR 2021 pour le découvrir !

 
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Collaboration Live révolutionne
la télé-expertise synchrone

La télé-échographie synchrone se développe, ouvrant le champ des possibles, notamment pour le télé-diagnostic. Nous avons rencontré le Dr Guillaume Gorincour, spécialiste en échographie pédiatrique et foetale, qui utilise la solution Philips Collaboration Live dans sa pratique pour répondre à distance aux demandes d’expertises de ses confrères et pour les guider sur examens complexes. Il évoque ainsi les avantages que l’on peut tirer de cette technologie et les évolutions de pratiques qu’elle pourrait engendrer.

Thema Radiologie : Comment définiriez-vous la télé-échographie et quelles en sont aujourd’hui les atouts et les limites ?

drDr GuillaumeGorincour : La télé-échographie a plusieurs facettes et il faut que l’on donne du sens à cette pratique, en rapport avec l’histoire médicale du patient et son environnement territorial. C’est la raison pour laquelle je ne suis pas un grand adepte de la sonde qui est mobilisée à distance. En mon sens, la vraie télé-échographie est réalisée, en premier lieu, par un praticien – ou un manipulateur – qui possède les compétences pour la mettre en œuvre. Et s’il a un doute, il fait appel à la télé-expertise, qui peut être asynchrone, l’expert arrivant en deuxième intention après l’examen initial.

T.R. : En rendant possible la télé-expertise synchrone, la solution Collaboration Live Philips, permet-elle d’aboutir à cette pratique et d’ouvrir de nouvelles perspectives ?

Dr G.G. : Tout à fait. Et c’est là qu’est l’innovation, l’originalité de l’angle d’attaque. Un confrère ou un manipulateur est en train de faire une vacation dans son centre de radiologie. Un patient lui pose problème, une image suspecte est identifiée sans qu’il puisse en trouver l’origine, il peut alors me solliciter pour que je lui donne, en temps réel, une réponse, un avis, des recommandations techniques sur la manière de mener son examen, par exemple. Grâce à Collaboration Live, je peux, tout d’abord, voir et entendre mon confrère, mais j’ai aussi accès à l’image échographique qu’il est en train de créer. Pour l’aiguiller efficacement, j’ai en effet besoin de voir ce qu’il se passe. Je peux même, depuis mon ordinateur, pointer sur son image une zone d’intérêt à explorer plus en profondeur, prendre la main sur les paramètres de l’échographe. J’ai toujours eu le sentiment que mon expertise échographique est plus « intellectuelle » que manuelle, et le manipulateur par exemple, peut être formé sur l’expertise de l’acquisition des images échographiques. Des modèles comme celui du Québec, que j’ai expérimenté, ont montré que cela fonctionnait.

T.R. : Quels sont les avantages que l’on peut tirer de cette technologie dans un futur proche ?

Dr G.G. : Tout d’abord, c’est une manière de résoudre en partie la pénurie de praticiens compétents en radio-pédiatrie par exemple, et je ne parle pas forcément des déserts médicaux. On peut améliorer ainsi la continuité de la prise en charge radiologique des patients. Moi qui exerce à Marseille, combien de fois ai-je vu arriver des patients venant de Corse pour obtenir l’avis d’un praticien expert. Avec Collaboration Live, il aurait été possible d’éclaircir certains cas douteux à distance, rapidement, sans faire déplacer les patients. Cela vaut aussi pour les cas de patients qui ont besoin de se déplacer en ambulance. Ensuite, on peut prédire qu’avec ce type de solution nous pourrions faire des économies ne serait-ce que sur les prises en charge de transports des patients.

T.R. : Quelles sont les questions que cette évolution des pratiques pourrait poser à la communauté radiologique ?

Dr G.G. : Lorsque je suis sollicité pour un télé-diagnostic, je dois pouvoir me rendre disponible immédiatement pour quelques minutes. Ce temps doit être reconnu et susciter une valorisation financière. Le modèle existe, mais il faudrait que la communauté radiologique se penche sur ce type de procédures pour pouvoir le développer et en faire bénéficier plus de patients. Car je suis convaincu que des outils comme Collaboration Live vont améliorer sensiblement les flux de patients s’ils sont déployés de manière pertinente sur les territoires.

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