Vous êtes dans : Accueil > Actualités > Imagerie cardiovasculaire diagnostique > Journée de dépistage échographique de l’anévrisme de l’aorte abdominale

Journée de dépistage échographique de l’anévrisme de l’aorte abdominale

MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

CHU NICE, le Jeudi 21 novembre 2013,  désignée journée de dépistage échographique de l’anévrisme de l’aorte abdominale, mobilisera les professionnels de santé autour «l’Opération Vésale 2013», vaste campagne de prévention à l’échelle nationale, visant à  sensibiliser les médecins généralistes et le grand public aux risques de dilatation silencieuse de la principale artère de leur corps. Un dépistage est organisé Hôpital St Roch, Service de chirurgie vasculaire du Pr Hassen-Kodja (consultations, rez-de-chaussée) - Jeudi 21 novembre 2013 de 8h30 à 17h30

Anevrisme

 

Un anévrisme dépisté peut être traité en corrigeant des facteurs de risques cardio vasculaires. Son risque de rupture sera minimisé.

Repéré à temps, l’anévrisme peut être traité et le risque de rupture écarté. Cette grande cause de santé publique est portée par la Société Française de Médecine Vasculaire.

Site internet dédié : http://sfmv-vesale.fr/

L’échographie abdominale ne prend que 5 minutes, le temps pour le médecin vasculaire de visualiser l’aorte et de la mesurer.

En France, la Haute Autorité de Santé s’oriente vers un dépistage opportuniste, c'est-à-dire recommandé lors de la consultation médicale de patients cibles : personnes âgées, fumeurs et adultes traités pour une hypertension après 50 ans.


En savoir plus sur l’anévrisme de l’aorte

Qu’est ce qu’un anévrisme de l’aorte abdominale ? L’aorte est la grosse artère qui amène le sang du cœur aux organes et aux membres. L’aorte abdominale est le dernier segment de l’aorte, elle se divise à hauteur de l’ombilic. Ses bords sont parallèles, son diamètre est régulier (18 à 22 mm chez l’homme, 16 à 18 mm chez la femme). L’anévrisme se définit par un élargissement de l’aorte, les bords ne sont plus parallèles et le diamètre est alors augmenté de plus de 50 %. La plupart des artères peuvent être le siège d’un anévrisme. Un anévrisme de l’aorte abdominale peut ainsi être associé à un anévrisme de l’aorte thoracique ou d’autres artères des membres inférieurs (iliaque, fémorale, poplitée).

Est-ce que l’anévrisme de l’aorte abdominale est une affection grave ? La complication majeure de l’anévrisme de l’aorte abdominale est liée à son risque de rupture, le plus souvent mortelle. Le risque de rupture d’anévrisme de l’aorte abdominale devient très significatif pour les anévrysmes de grande taille (diamètre  > 50 mm). La rupture d’anévrysme est une cause fréquente de mortalité chez l’adulte de plus de 65 ans. L’autre complication possible est le risque d’embolie dans les artères de jambe pouvant être responsable de gangrène et  d’amputations des orteils.

Pourquoi le dépistage est-il important ? Parce que l’anévrysme de l’aorte abdominale est le plus souvent  silencieux avant qu’il ne se complique. Le dépistage permet de découvrir les petits anévrysmes qui bénéficieront de mesures médicales ralentissant leur évolution, et les gros anévrysmes pour lesquels un traitement réparateur sera proposé. L’outil de dépistage est l’échographie. 

Qui est à risque ? En quoi ce dépistage me concerne-t-il ? Les principaux facteurs de risque d’avoir un anévrysme de l’aorte abdominale sont  l’âge, le sexe masculin, le tabagisme et le terrain familial.
• La fréquence des anévrysmes de l’aorte abdominale augmente régulièrement avec l’âge (de 0,5% à 60 ans à 5% à 75 ans)
• L’homme est 5 à 10 fois plus souvent concerné que la femme
• Par rapport au non-fumeur, un long passé de tabagisme actif multiplie par 6 à 7 le risque d’avoir un anévrysme ; un long passé de tabagisme stoppé  le multiplie par 1,5 à 3,5
• Le risque d’être porteur d’un anévrysme de l’aorte abdominale augmente aussi avec l’existence d’anévrysme de l’aorte chez les proches parents (père, mère, frères et sœurs) et avec un passé d’hypertension artérielle.


Ainsi, le dépistage d’anévrysme de l’aorte abdominale s'adresse  à
tous les hommes de plus de 60 ans ; le dépistage est recommandé chez les fumeurs, conseillé chez les non-fumeurs. Il n’est  pas-indiqué chez les sujets de plus de 75 ans qui présentent une altération de l’état  général.

Chez les femmes le dépistage est conseillé dans les situations suivantes : - 60 à 75 ans tabagiques ou hypertendues. - plus de 75 ans tabagiques en assez bonne santé apparente (dépistage conseillé).

Les hommes et les femmes de plus de 50 ans ayant une histoire familiale d’anévrysme de l’aorte abdominale (parents ou collatéraux au 1er degré) et ce d’autant plus que plusieurs parents ou collatéraux ont été ou sont concernés.

Comment se déroule ce dépistage ? A l’aide d’un examen échographique, examen non invasif, simple, ne demandant aucune préparation ni injection. Le médecin va poser sur votre abdomen la sonde d’échographie afin de visualiser l’aorte et la mesurer.

3 résultats possibles

1/ Votre aorte est normale
 : vous repartez rassuré. La plupart des personnes qui participeront à ce dépistage auront un examen normal.
2/ Vous présentez un petit anévrisme : une lettre est adressée à votre médecin traitant que vous reverrez. Celui-ci prendra toutes les mesures pour le suivi de cet anévrisme, notamment suivi échographique régulier, et les mesures médicales nécessaires.
3/ Vous présentez un anévrisme important : une lettre est adressée à votre médecin traitant que vous reverrez : celui-ci prendra toutes les mesures médicales et nécessaires et vous confiera à une équipe médico chirurgicale expérimentée.

Existe-t-il un traitement médical de l’anévrisme de l’aorte ? Il n’y a pas actuellement de traitement médicamenteux de l’anévrysme. Par contre, la correction de TOUS VOS FACTEURS DE RISQUE CARDIOVASCULAIRE a un effet favorable sur la progression de l’anévrysme en particulier la suppression du tabac. Les traitements médicamenteux et les conseils d’hygiène de vie impliqués dans la correction des facteurs de risque cardiovasculaire seront prescrits. Votre Médecin Généraliste est le mieux placé pour mettre en route ces recommandations qui sont valables quelle que soit la taille de votre anévrisme.

Qu’est ce qui arrive en cas de découverte d’un petit anévrisme ? Un suivi échographique est nécessaire car les anévrismes de l’aorte augmentent de taille lentement mais sûrement, d’où la nécessité de cette surveillance. Selon le diamètre de l’aorte, une échographie tous les ans est nécessaire.

Qu’est ce qui arrive en cas de découverte d’un gros anévrisme ? Votre médecin généraliste vous confiera à une équipe médico-chirurgicale d’expérience afin que vous soyez dans les meilleures conditions pour traiter cet anévrisme : chirurgie directe (remplacement prothétique de l’aorte anévrysmale) ou mis en place d’une endoprothèse aortique par voie fémorale.

C’est l’équipe qui vous prendra en charge qui décide de l’une ou l’autre de ces techniques. La décision se prendra en fonction de plusieurs critères, dont notamment la morphologie de vos vaisseaux.

Pourquoi intervient-on à partir de 50 mm de diamètre ? Parce qu’à partir de cette taille le risque de rupture de l’aorte devient important : 3 à 15% par an pour les anévrysmes de 50-60 mm et plus encore au-delà de 60 mm.

Finalement ce dépistage, est-ce une chance pour moi ? OUI, car l’anévrisme ne provoque le plus souvent aucun symptôme, et dans une population ciblée, notamment les hommes de plus de 65 ans et fumeurs ou anciens fumeurs, le risque de présenter un anévrisme est bien présent. Et même s’il n’existe pas de traitement médical propre aux anévrismes, la correction stricte des facteurs de risque cardiovasculaire est un acte médical majeur qui  permettra de ralentir l’évolution de l’anévrisme vous rendra service.

Le dépistage est aussi important que le dépistage du cancer du sein ou du colon. La mise en place d’une surveillance adaptée permettra de diminuer de façon très importante le risque de complications graves et de programmer le cas échéant une intervention dans les meilleures conditions possibles.

 

Contacts presse

Martine Rajzman

Directeur de la communication

Tél 04 92 03 41 08

06 86 59 36 69

Geneviève Robiquet

Attachée de presse

Tél 04 92 03 41 04

06 88 46 52 12

 

Thema Radiologie


Le score calcique, critère essentiel de prévention de l'événement cardiovasculaire majeur
05/03/2024 : Le score calcique des artères coronaires peut identifier les patients symptomatiques présentant un risque très faible de crise cardiaque ou d'accident vasculaire cérébral, selon une nouvelle étude publiée dans la REVUE Radiology. Les chercheurs pensent que ce travail pourrait un jour aider certains patients souffrant de douleurs thoraciques stables à éviter une coronarographie invasive.

Les variations mondiales de l'imagerie cardiovasculaire durant la pandémie
04/10/2023 : Selon une étude publiée dans Radiology : Cardiothoracic Imaging, les volumes d’explorations cardiovasculaires non invasives ont fortement diminué lors de la crise sanitaire. Ce travail a chiffré les variations du nombre d’examens effectués aux USA, dans les pays riches et dans les pays défavorisés à cette période.

Un risque d'AVC ultérieur accru si le bilan radiologique pour AIT est incomplet
14/06/2023 : Selon un article publié dans l'American Journal of Roentgenology (AJR), les passages aux urgences pour Accident Ischémique Transitoire (AIT) avec imagerie neurovasculaire incomplète seraient associés à un risque plus élevé d'AVC ultérieur dans les 90 jours. Le protocole d’imagerie comprend ici une angio-IRM ou une angio-TDM ainsi qu’une échographie carotidienne.

AAA : pourquoi l'angioscanner est la référence pour évaluer le risque de rupture
17/01/2022 : Un cas d’anévrisme aortique abdominal géant a été rapporté récemment dans la Revue Interventional Cardiology. Cet article confirme l’angioscanner comme l’exploration de référente pour cette pathologie, notamment pour évalue la fragilité de la paroi aortique.

Philips enrichit son domaine d'activité en cardiologie
17/11/2021 : En faisant l’acquisition de la société française Cardiologs, Philips Healthcare complète son domaine d’activités diagnostiques. Cette solution basée sur des algorithmes de machine nearning permet un dépistage des troubles cardiaques à partir d’un ECG.

Exploration radiologique des variations anatomiques de l'artère hépatique
31/08/2021 : L’artère hépatique peut connaître un grand nombre de variations anatomiques tout au long de son trajet. C’est le résultat d’une étude coréenne rétrospective sur plus de 5 000 patients. Si leurs implications cliniques sont faibles, ces différenciations peuvent causer des effets secondaires lors de la chirurgie hépatique.

Une approche structurée pour la TDM de l'aorte thoracique réparée
23/08/2021 : La Revue Radiographics présente ce mois-ci un travail sur les questions que doivent ce poser les radiologues en présence d’un scanner post-opératoire d’une réparation aortique thoracique. L’approche n’est pas la même selon qu’il étudie la branche ascendante ou la crosse.

Risque cardiovasculaire accru dans la population vivant avec le VIH
20/04/2021 : Selon une étude canadienne publiée dans la Revue Radiology, les personnes vivant avec le VIH et sans maladie cardiovasculaire non calcifiée connue sont susceptibles de présenter une charge athéromateuse coronaire deux à trois fois plus importante que des volontaires sains non séropositifs. Les chercheurs ont déclaré que les résultats soulignent l'importance d'un mode de vie sain chez les personnes vivant avec le VIH.

Accidents cardiovasculaires : identifier des biomarqueurs plus fiables pour les patients à risque
10/03/2021 : Les patients victimes d’accidents cardiovasculaires ne sont pas toujours considérés comme à risque. Une étude française publiée dans The Lancet le montre, ce qui souligne le besoin d’identifier des biomarqueurs plus fiables pour mieux évaluer le risque.

Un nouveau modèle pour évaluer le risque cardiovasculaire à partir du coroscanner
25/06/2019 : Pour évaluer le risque cardiovasculaire d'une personne à partie du coroscanner, la méthode la plus appropriée aujourd'hui est le machine learning. C'est le résultat d'une étude publiée dans la Revue Radiology, qui montre que cette méthode est supérieure au score CAD-RADS par exemple.


Radiothérapie : erreur de latéralité à l'institut de cancérologie de Bourgogne
17/04/2024 : Une erreur de latéralité a entrainé la délivrance d’un traitement de radiothérapie sur le mauvais sein d’une patiente de l’Institut de cancérologie de Bourgogne. L’événement a été classé au niveau 2 de l’échelle ASN-SFRO.

JFR 2024 : les inscriptions sont ouvertes !
17/04/2024 : Les inscriptions aux JFR 2024 sont désormais ouvertes. Ces Journées seront présidées cette année par le Pr Valérie Laurent qui vous les présente dans une vidéo.

La CT-FFR comme outil de sélection des patients éligibles à l'angioplastie coronaire
16/04/2024 : Une nouvelle étude publiée dans la Revue Radiology montre que le coroscanner accompagné de la CT-FFR améliore les parcours de soins des patients cardiaques. Grâce à cet outil, les sténoses ou occlusions dans les coronaires de ces derniers sont moins susceptibles de générer des procédures invasives thérapeutiques.

La fusion entre l'ASN et l'IRSN entérinée par le Parlement
16/04/2024 : Le projet de Loi instituant la création d’une nouvelle entité indépendante chargée de la sureté nucléaire et de la radioprotection, l’ASNR. Elle aura les mêmes prérogatives que l’ASN enrichies des activités de recherche de l’IRSN.

Quid de l'utilité de l'IRM pour l'exploration du genou et de la hanche du sujet d'âge moyen ou avancé ?
15/04/2024 : Selon une étude publiée dans l'American Journal of Roentgenology (AJR), c'est l'arthrose, et non l'âge, qui pourrait jouer le plus grand rôle dans la détermination de l'utilité de l'IRM chez les patients de 45 ans et plus souffrant de douleurs à la hanche ou au genou. C’est une revue documentaire qui a permis aux chercheurs d’arriver à ce résultat.

Le CHU de Nîmes lance le projet FERIAS en faveur de l'imagerie spectrale
11/04/2024 : Le projet FERIAS, qui vient de voir le jour au CHU de Nîmes, va mettre en œuvre des sessions de formation et des travaux de recherche autour de l’imagerie spectrale à travers l’acquisition de trois scanners. Il fait l’objet d’un partenariat avec Philips.

VIH : corrélation entre épaisseur de paroi coronaire et fonction cardiaque altérée
11/04/2024 : Une nouvelle étude Radiology : Cardiothoracic Imaging montre une corrélation entre augmentation de l’épaisseur de la paroi des coronaires et altération de la fonction diastolique chez les personnes asymptomatiques vivant avec le VIH. Ces résultats pourraient leur être bénéfiques par une prise en charge plus précoce.

Nouvelles procédures de stenting de carotides en vidéo
10/04/2024 : Dans notre série de procédures interventionnelles en vidéo, nous vous présentons aujourd’hui différentes procédures récentes de traitement endovasculaire d’artères carotides.

Réduction de dose significative en TDM grâce à la reconstruction itérative avancée
10/04/2024 : L’utilisation d’un modèle de reconstruction itérative modélisée avancée en tomodensitométrie thoracique permet une réduction significative de la dose sans perte de la qualité de l’image. C’est ce que rapportent des chercheurs suédois dans un article publié dans la Revue Radiation Protection Dosimetry.

Les micro-ondes comme alternative pour traiter le carcinome papillaire de la thyroïde
09/04/2024 : Dans une étude menée dans 10 centres, l'ablation par micro-ondes du carcinome papillaire de la thyroïde est proposée comme alternative à la chirurgie. Ce travail, publié dans la Revue Radiology, montre des taux de survie sans progression équivalents et moins de complications pour l’ablation par micro-ondes que pour la chirurgie.


Guidelines européennes pour l'hystérosalpingographie
08/04/2024 : La vieille polémique concernant le produit de contraste iodé à utiliser pour réaliser une hystérosalpingographie subsiste dans la communauté radiologique. Faut-il utiliser un produite de contraste à base d’huile ou à base d’eau ? Une étude européenne publiée dans le Journal European Radiology émet une guideline pour ce type d’exploration.

Quid de l'utilité de l'IRM pour l'exploration du genou et de la hanche du sujet d'âge moyen ou avancé ?
15/04/2024 : Selon une étude publiée dans l'American Journal of Roentgenology (AJR), c'est l'arthrose, et non l'âge, qui pourrait jouer le plus grand rôle dans la détermination de l'utilité de l'IRM chez les patients de 45 ans et plus souffrant de douleurs à la hanche ou au genou. C’est une revue documentaire qui a permis aux chercheurs d’arriver à ce résultat.

Le CHU de Nîmes lance le projet FERIAS en faveur de l'imagerie spectrale
11/04/2024 : Le projet FERIAS, qui vient de voir le jour au CHU de Nîmes, va mettre en œuvre des sessions de formation et des travaux de recherche autour de l’imagerie spectrale à travers l’acquisition de trois scanners. Il fait l’objet d’un partenariat avec Philips.

La fusion entre l'ASN et l'IRSN entérinée par le Parlement
16/04/2024 : Le projet de Loi instituant la création d’une nouvelle entité indépendante chargée de la sureté nucléaire et de la radioprotection, l’ASNR. Elle aura les mêmes prérogatives que l’ASN enrichies des activités de recherche de l’IRSN.

La CT-FFR comme outil de sélection des patients éligibles à l'angioplastie coronaire
16/04/2024 : Une nouvelle étude publiée dans la Revue Radiology montre que le coroscanner accompagné de la CT-FFR améliore les parcours de soins des patients cardiaques. Grâce à cet outil, les sténoses ou occlusions dans les coronaires de ces derniers sont moins susceptibles de générer des procédures invasives thérapeutiques.

Radiothérapie : erreur de latéralité à l'institut de cancérologie de Bourgogne
17/04/2024 : Une erreur de latéralité a entrainé la délivrance d’un traitement de radiothérapie sur le mauvais sein d’une patiente de l’Institut de cancérologie de Bourgogne. L’événement a été classé au niveau 2 de l’échelle ASN-SFRO.

La radiologie française rappelée à l'ordre quant à l'exercice illégal de la profession de MERM
02/04/2024 : Alors que des informations relatives à la pratique illégale de la profession de MERM nous arrivent de plus en plus fréquemment, le CNPMEM a réagi en interpelant le G4. Il rappelle, dans une lettre, les radiologues à leurs responsabilités et souhaite sensibiliser tous les professionnels de Santé devant ces pratiques dangereuses pour la qualité de la prise en charge radiologique des patients.

Découverte des premières images cérébrales d'Iseult, l'IRM 11,7T
02/04/2024 : La plateforme d’IRM à 11,7T nommée Iseult a été présentée ce 2 avril 2024. Cette modalité, qui a bénéficié d’un partenariat scientifique et industriel à grande échelle, a montré ses premières images alliant une résolution spatiale inégalée et des niveauxde contraste jamais atteints.

La myostéatose identifiée par scanner associée à un risque de mortalité élevé
18/05/2023 : Selon une étude américano-belge publiée dans la Revue Radiology, les adultes asymptomatiques présentant une myostéatose courent un risque accru d'événements indésirables majeurs et de décès. Les chercheurs ont comparé ce risque à celui provenant du au tabagisme ou du diabète de type 2.

Réduction de dose significative en TDM grâce à la reconstruction itérative avancée
10/04/2024 : L’utilisation d’un modèle de reconstruction itérative modélisée avancée en tomodensitométrie thoracique permet une réduction significative de la dose sans perte de la qualité de l’image. C’est ce que rapportent des chercheurs suédois dans un article publié dans la Revue Radiation Protection Dosimetry.