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ONE MANAGER EN MODE FULL WEB HEBERGE: FINIS LES INVESTISSEMENTS ERRATIQUES

MERCREDI 18 MARS 2015 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagir

Les systèmes d’informations de santé s’adaptent de plus en plus à l’avènement des technologies web. SOFTWAY MEDICAL a pris le parti de concevoir son RIS/PACS ONE MANAGER en mode full web et d’héberger les données provenant des unités de radiologie. Jean-Baptiste Franceschini, Directeur de la Division Radiologie et Marketing chez SOFTWAY MEDICAL, nous a accordé un entretien dans lequel il explique cette stratégie et les apports de cette nouvelle pratique pour les gestionnaires et les praticiens.

 

 

 

Jean Baptiste Franceschini

Théma Radiologie: Votre solution RIS/PACS ONE MANAGER est depuis un certain temps proposée en mode hébergé. Pourquoi SOFTWAY MEDICAL a-t-elle choisi cette évolution ?

Jean-Baptiste Franceschini: Les radiologues souhaitent aujourd'hui prendre de la distance avec les contraintes générées par les matériels informatiques. Ils n'ont pas de compétences approfondies dans le domaine et surtout peu de temps à y consacrer. La maintenance et le renouvellement de l’infrastructure matériel représente, de plus, une charge financière significative, surtout pour les cabinets de radiologie. Le mode hébergé leur permet de se soustraire à ces contraintes. D'autre part, il existe aujourd'hui une rupture technologique et la tendance forte est d'abandonner windows pour le web. Premièrement parce que les radiologues ont besoin d'accéder aux applications de n'importe où, notamment d’un lieu d’exercice distant ou de leur domicile. Mais la raison majeure qui a entrainé notre mutation vers l’hébergement est conséquente aux technologies Web. Il s’agit de l’exposition des données et du système vers l’extérieur qu’induisent ces nouvelles pratiques. En effet, d’autres acteurs de la prise en charge du patient, généralistes, spécialistes, établissements de santé, experts, sont appelés à consulter eux aussi les informations des malades. Et puis, il faut penser au patient lui-même, qui est de plus en plus acteur de sa santé et qui est en demande d'être informé sur son état de santé.

C’est une rupture fondamentale qui impose de reconsidérer sa capacité à protéger ses données des intrusions extérieures, mais aussi son outil de production et d’organisation interne. Il est beaucoup plus rassurant pour un radiologue de confier cette gestion des risques à un professionnel du domaine qui contractualisera cette relation que de gérer cela sur le serveur « stocké » au sein du cabinet, comme nous le faisions précédemment.

« Nous avons fait le choix de l’agrément d’Hébergeur de Données de Santé il y a quatre ans »

T.R.: Comment SOFTWAY MEDICAL gère-t-il les contraintes liées à la sécurité des données ?

J-B.F.: Nous avons, il y a quatre ans, fait le choix de l'agrément d'Hébergeur de Données de Santé (HDS), que nous avons obtenu il y a plus de trois ans. Bien que très engageant comme investissement pour notre entreprise, nous trouvions cela pertinent, puisque nous pouvions mutualiser cet investissement sur nos deux marchés, la radiologie (1200 cabinets) avec ONE MANAGER et les établissements de santé avec HOPITAL MANAGER qui couvre les domaines administratifs et médicaux de plus de 550 cliniques et des hôpitaux. D'autre part, cela nous permet de maîtriser toute la chaîne logicielle entre le hardware et les applications métier, notamment la sécurisation et la virtualisation des données. 

T.R.: Cela vous donne beaucoup d'autonomie dans votre fonctionnement...

J-B.F.: ...Effectivement, et une longueur d'avance sur les autres acteurs du marché. Nous maîtrisons la gestion des baies et des serveurs dans deux data-centers reliés entre eux et dupliqués. Nous ne nous arrêtons donc pas aux portes des data-centers, ce qui nous permet d’apporter une meilleure maîtrise de nos infrastructures. Nous gérons également toute la partie télécom, avec des outils de monitoring pour mesurer en temps réel la bande passante, la vitesse, ou le nombre de paquets circulant dans notre réseau. Ainsi, si une difficulté survient, nous sommes plus réactifs grâce à une surveillance continue de « bout en bout ». C’est une différence certaine avec une offre mosaïque de plusieurs acteurs (et contrats) où il est complexe d’obtenir un engagement global. Nous sommes l’interlocuteur unique de nos clients.

« Aujourd’hui, les radiologues ne disposent pas des configurations techniques ni des compétences adaptées »

T.R.: Quel est le ressenti des radiologues quant au passage en mode hébergé ?

J-B.F.: Ils ne sont, au début, pas forcément favorables à changer leurs pratiques. Ils ont peur de confier leurs données à un tiers et redoutent que les gros serveurs ou les connexions télécom ne soient pas fiables. Ils pensent également ne pas pouvoir changer de fournisseur s'ils le désirent. Nous devons donc les rassurer. Tout d'abord sur l’agrément HDS et le niveau de sécurité de leurs données nettement supérieur à celui auquel ils peuvent prétendre sur leur site. D’autant que la réglementation sur les données médicales ne fera que se renforcer. Ils réalisent aussi très vite que la dépendance de leurs sites à un serveur ou à une ligne télécom est déjà leur quotidien. Aujourd’hui, ils sont en quelque sorte leur propre hébergeur, mais ils ne disposent ni des configurations techniques adaptées, ni des processus et des compétences requises pour en remplir convenablement la fonction. Nous mettons par exemple, de façon systématique, un back up ADSL à la ligne SDSL que nous fournissons pour avoir, en cas de panne, une alternative venant d’un autre opérateur. Quant aux demandes de changement de fournisseurs, nous assurons nos clients la récupération de toutes leurs données à la fin de notre collaboration.

T.R.: Quelles sont les modalités d'abonnement à votre dispositif d'hébergement ?

J-B.F.: Nous proposons un forfait mensuel pour l'hébergement et un abonnement à la ligne télécom variable en fonction de la caractéristique de cette ligne. Il faut préciser que les fonctionnalités RIS et PACS sont unifiées dans une seule solution, ONE MANAGER. Nous avons considéré que les données d'imagerie ne devaient plus être séparées, qu'une seule base de données était nécessaire, notamment pour ne gérer qu'un seul dossier patient (images et compte-rendus). Nous sommes les premiers en France, et certainement en Europe, à avoir fait ce choix.

Deux fonctionnements sont donc possibles si le PACS fait partie de l’équipement du client. Soit un serveur local pour le stockage immédiat des images et un transfert des données la nuit vers le data center, soit un transfert en continu vers le data center. 

« Un abonnement à notre service représente un coût prédéterminé sans investissement erratique »

T.R.: Que répondez-vous à ceux qui pensent qu'un abonnement peut s'avérer plus cher qu'une solution en local ?

J-B.F.: Nous répondons avant tout que nous pouvons leur installer ONE MANAGER en local puisque c’est un modèle que nous avons pratiqué pendant de nombreuses années. Ne subissant pas de « trou » dans notre offre nous pouvons adopter un rôle de conseil. Mais si nous développons l’argumentaire, un stockage local contraint les gestionnaires de matériels de faire réparer et réaliser la maintenance des baies de stockage et des serveurs. Ils doivent également ajouter des disques durs régulièrement, étant donné le volume de données qui sont générées notamment par l'imagerie en coupe. Nous parlons alors d’un coût de possession d’un système local et non plus du coût d’acquisition initial. L’écart est alors infime avec notre solution hébergée, alors que le bénéfice en sécurité des données (médicales mais aussi financières) est très largement à l'avantage de cette dernière. 

Un abonnement à notre service représente un coût prédéterminé, facilement intégrable dans une comptabilité prévisionnelle en permettant une évolution à la demande de la puissance de calcul et de l’espace à allouer, sans avoir d’investissements erratiques. Enfin, nous prenons un engagement de continuité de service supérieur à 99% du temps, ce qui est très apprécié. Aujourd'hui, non seulement les cabinets de radiologie mais aussi les établissements de santé dont nous nous occupons sont intéressés par ce fonctionnement. Ainsi, pour HOPITAL MANAGER, plus de 50% de nos clients sont passés en mode hébergé et 95% des cabinets de radiologie et des établissements pour ONE MANAGER. Les chiffres parlent d'eux-mêmes...

 

Bruno Benque


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